Dans un rapport de quinze pages sur la fiscalité à l’adresse de Ségolène Royal, un mois avant le premier tour de la présidentielle de 2007, Dominique Strauss-Kahn évoquait la question des retraites sur trois petites lignes. Tout un programme de gouvernement : « Compte tenu de l’évolution du rapport entre les actifs et les retraités et de l’allongement de la durée de la vie, la question de l’équilibre de nos régimes de retraite est loin d’être réglée. » Vivement sa candidature aux primaires.