Les deux Stéphane, Fouks et Schmaltz, de chez Euro-RSCG, avaient mis dans le crâne de Jean-Louis Borloo qu’il serait nommé à Matignon. Ils se sont répandus dans Paris : « Fillon, c’est fini ! »
Borloo y a tellement cru qu’il avait demandé à son cabinet de ne pas partir en week-end au cas où.