En tournée à Montpellier, le 8 mars dernier pour chatouiller le président de région sortant (et socialiste exclu) Georges Frêche, Martine Aubry n’a pas pensé à réviser toutes ses fiches méridionales. Et s’est fait coller par un journaliste de France-3 Marseille.
Le gratte-papier lui a perfidement demandé son avis sur la récente élection du président du conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini à la présidence de la fédération socialiste 13. Et sa compatibilité avec les statuts du parti, qui interdisent un tel cumul. "Je ne comprends pas la question ?" a benoîtement répondu Titine avant de s’esquiver. Sans doute un problème d’accent.