Officiellement ça n’a rien à voir… Mais dans le sillage de l’incarcération de Patrick Moigne, ce commissaire divisionnaire mis en examen le 14 mars pour corruption (il est soupçonné d’avoir vendu des informations confidentielles à des officines) un discret ménage vient d’être fait au sein de la 1ère division de police judiciaire parisienne, service où fut affecté Moigne il y a quelques années. Bien que la direction de ce service soit actuellement vacante (le poste fait l’objet d’une féroce bataille et le commissaire Moigne figurait d’ailleurs sur la liste des prétendants), le patron par intérim du service vient d’exiger que tous les anciens flics ayant leurs habitudes au sein de la maison débarrassent définitivement le plancher.
Principale cible de ce coup de balai, un ancien du service, retraité donc, mais dont l’assiduité dans les locaux paraît aujourd’hui poser problème. « Il n’a absolument rien à voir avec l’affaire Moigne », assure un fonctionnaire de la 1ère « mais, comme beaucoup de retraités du métier il avait simplement du mal à rompre avec le métier et les collègues ». La place Beauvau paraît suivre de très près la suractivité de ces seniors de la police. Qui plus est lorsque leur route a fortuitement croisé celle d’un ex « grand flic » d’origine corse reconverti dans le privé…
Dommage que vous ne puissiez être plus précis, le risque du procès en diffamation certainement… Pourtant on aurait aimé en savoir plus, la "grande maison" à tellement tendance à protéger les petits dérapages de certains de ses responsables…
SB.
ET pourquoi jamais de ménage à l’éducation nationale ?
Et pourquoi lieu le plus important de harcèlement moral ?
Et pourquoi lieu important de subventionnement de la psychiatrie ?(et pas d’autres spécialités médicales)
Et pourquoi se taire tout le temps et jamais aucun accès aux lois et à la justice ?
Et pourquoi les gamins, ils ne peuvent pas aller bien ?
LIRE, FAIRE CONNAITRE ET PARLER DU LIVRE DE CATHERINE MALABOU : LES NOUVEAUX BLESSES, chez Bayard.
URGENT UN AUTRE BOUT DE LA LORGNETTE ET DE LA COMPRENETTE.
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