Bonne nouvelle pour les créanciers involontaires de l’ambassade du Gabon à Paris, sa seigneurerie l’ambassadeur Jean-Marie Adzé vient de retrouver son chèquier. Avec six mois de retard, et un peu vexé qu’on ait pu douter de ses capacités financières, le diplomate a enfin reglé la société séminaris production qui avait réalisé les cartes de voeux de l’année 2006. Et avec un chèque de banque s’il vous plaît ! Ce règlement est intervenu deux jours après la publication de l’article
Aux gabons soins de l’ambassadeur.
Il y a des hasards dans la vie…