Suite à la republication le 9 août dernier, dans le cadre de notre rubrique Best of, de l’article "Djouhri ou la belle vie", M. Djouhri nous a à nouveau envoyé un droit de réponse, que nous publions fort volontiers.
Droit de réponse de M. Djouhri
« 1- Je conteste formellement le rôle et les activités qui me sont prêtés dans un document se présentant comme la copie d’un rapport de la Brigade Criminelle de 1989 qui circulent actuellement dans certaines rédactions d’organes de presse.
2- Comme mentionné sur ce document, il s’agit d’un "résumé de premières investigations" et non d’un rapport de synthèse ou de clôture d’enquête.
3- Contrairement à ce que peut laisser supposer votre présentation et à l’importance que vous attribuez à ce document, celui-ci ne consiste en fait qu’en une collection d’hypothèses formulées en croisant des procédures distinctes, tentant ainsi d’opérer des rapprochements hasardeux.
4- Le caractère fantaisiste de ce rapport est suffisamment démontré par le fait que je n’ai jamais été entendu, ne serait-ce que comme simple témoin.
5- Il serait trop long de relever toutes les erreurs, contre-vérités et amalgame contenue dans ce qui prétend être le récit de mes relations -vraies ou imaginaire, avec plusieurs personnalités du monde des affaires et de la politique.
6- La répétition d’allégations dirigées contre moi révèle un véritable acharnement dont je comprends mal les motivations. »
Alexandre Djouhri