Procureur de Paris : la question que les lecteurs du « Parisien » n’ont pas lue.
mercredi 19 mars 2008
L’interview de Jean-Claude Marin dans les colonnes du Parisien, d’une longueur de 9000 signes, a dû être ramenée à 5500 avant publication, question de place. Du coup, certaines questions fort intéressantes sont restées dans un tiroir. Notamment celle où les journalistes demandaient à Marin si le fait qu’avoir à son cabinet - pour assurer sa com’ - une magistrate qui n’est autre que l’épouse du directeur de cabinet de Bernard Laporte pouvait avoir eu une incidence sur le traitement des dossiers visant le sous-ministre. « Non, aucune », avait répondu Marin en brodant autour… La question était plus intéressante que la réponse du proc, mais les lecteurs du quotidien n’en ont rien su.