Il n’y a plus que Serge Dassault en lice pour le rachat du Parisien. Vincent Bolloré, qui n’était pas prêt à mettre plus de 100 millions d’euros, a dû rebrousser le chemin des négociations face à une Marie-Odile Amaury inflexible.
La patronne du groupe refuse en effet de brader son quotidien en dessous de 160 millions d’euros, un prix plancher. Pour Bolloré, c’est aussi un bon moyen d’éviter une brouille avec Dassault. C’est donc à ce dernier, qui a les faveurs de l’Élysée, que reviendra la dure tâche de convaincre Marie-Odile. Avec deux armes à son arsenal : le charme et le chèque.