Droits de Lomé
jeudi 19 octobre 2006
Il ne fait pas bon vouloir quitter Lomé. L’un des dirigeants d’une société française installée dans la capitale du Togo s’est ainsi retrouvée dare-dare- en cabane, juste après avoir fermé boutique. Apprenant qu’il voulait plier bagages, quelques juges auraient voulu lui faire payer une sorte de taxe de départ. Lomé, on l’aime ou on l’acquitte….