Anne Méaux préfère la difficulté
mercredi 14 juin 2006
Ritournelle traditionnelle des sportifs, « il est plus facile de bien jouer face un adversaire de qualité ». L’adage semble aussi tenir pour les communicants en général et Anne Méaux en particulier. La fringante porte-voix des patrons français excelle en effet dans la difficulté. Dans son porte-feuille, deux présidents africains, le Sénégalais Abdoulaye Wade et le Tunisien Zine Ben Ali, alias « Bac moins trois ». Si « Gorgui » Wade se fait régulièrement éreinter par la presse française, les papiers critiquants le pouvoir tunisien sont de plus en plus rares. Pourtant, la situation démocratique du Sénégal et de la Tunisie ne semble pas comparable. Mais Anne Méaux doit avoir l’esprit de compétition…