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Guerre psychologique, action psychologique
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" La violence symbolique est cette forme de violence qui s'exerce sur un agent social avec sa complicité " Pierre Bourdieu
" Tact, ethique, tactiques...."
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Auteur: Le webmestre de GEOSCOPIE a un certain
intérêt pour ce sujet depuis l'année...1958: il a saisi cette occasion pour orienter ses lecteurs et de proposer ces quelques sources avant d' y revenir plus largement. |
| Reprise message ICARE Cette note est largement reprise d'un message daté du 01/04/2000 de ICARE sur le forum fr.soc.economie
Titre : Erika et infoguerre, réflexions. Jean François LOEWENTHAL est un ingénieur très porté sur les technologies de l'information.
Spécialisé en intelligence économique et dans les nouvelles technologies de l'information, il a écrit un excellent article dans la revue
« Renseignement et opérations spéciales » (numéro 4, mars 2000, page 181, disponible chez L' Harmattan, 5 rue Polytechnique, 75005, Paris, France).
« Internet possède aussi une autre particularité essentielle : le réseau représente une formidable caisse de résonance pour des actions de désinformation, de contre-information et de lobbying.
Par exemple, dès le début de la marée noire, en fin d'année 1999, les appels au boycott contre Total-Fina se sont très rapidement multipliés sur le net. »
Exact, le septième média a permis une infoguerre efficace contre M. Desmarest et sa société.
La manifestation du premier avril 2000 à Paris (un grand succès médiatique) a réuni 2500 personnes.
Elle a aussi prouvé que le combat doit être permanent pour que cela ne recommence pas.
Le problème du suivi épidémiologique des liquidateurs reste posé.
Combien de cas de leucémies myéloblastiques chez les bénévoles dans 10 ou 15 ans ?
Les rapports sur l'Erika (mars 2000) de l'INERIS (institut national de l' environnement industriel et des risques) sont essentiels à une bonne compréhension de cette tragédie maritime.
« .. le benzo(a)pyrène a également des effets tératogènes et sur la reproduction. »
« . un risque non négligeable pour les femmes enceintes. »
Évaluation des risques sanitaires et environnementaux résultant du naufrage de l'Erika et des opérations de nettoyage des côtes, page 23. « .on sait.. que s'agissant d'un cancérogène de type génotoxique comme le benzo(a)pyrène, il n'existe pas de seuil d'effet » page 24.
Ces études sont disponibles sur le site web de l'INERIS.
La revue Analusis magazine (2000, 2, numéro 1, page 48) a consacré un excellent reportage à cet organisme.
Les mésocosmes de l'INERIS permettront d'étudier au mieux les effets toxiques du fuel de l'Erika.
Ce combat informationnel préfigure les joutes présidentielles de 2002. Internet sera au centre du débat politique, il constituera l'enjeu.
La net- économie est un tsunami qui déferle sur la France. Le net sera aussi un support majeur (sites web, forums, e-mails, chats, web-TV) pour les candidats.
L'affaire Total sur le web constitue un cas concret intéressant et nouveau.
Certaines sociétés ont-elles utilisé des logiciels d'analyse sémantique pour ficher les internautes anti-marée noire ?
http://www.sandtechnology.com/sandtechnology.html
http://www.computel2.newsalert.com/MGI/SNAP/A0FC8-CS.htm
http://www.ewatch.com/ind_main.html
http://www.cyberalert.com/cybersite/index.html
Annexes :Leucémies
http://webhome.infonie.fr/fondamn/leucemie.htm « Causes On ne connaît pas la cause exacte de la plupart des leucémies.
Chez certains sujets, on retrouve un facteur déclenchant comme une exposition à des radiations ionisantes ou à une substance chimique toxique (le benzène, par exemple), ou un contexte d'infection par un virus. »
Leucémies Aiguës F. Garban - 1999 Facteurs étiologiques à l'origine de leucémies Produits chimiques benzène et solvants dérivés »
« Dans le groupe, nous avons pour priorité la sécurité et le respect de l'environnement. Il n'est donc pas question de transiger sur ces deux points pour des questions financières ».
Monsieur Thierry Desmarest PDG du groupe Totalfina Ouest france http://www.france-ouest.com/Modeles/sommaire/SOMdeux.html |
Modernité de l'action psychologique
08/décembre/1999 conçu par François Géré réalisé par Philippe Wodka-Gallien Pascale Combelles-Siegel Véronique Campion-Vincent
l'idiot utile: (ou nuisible selon le côté où on se place) personnage au comportement souvent avantageux, qui ne comprend rien à la situation ni aux manipulations dont il est l'objet et qui en fait fonctionne comme un allié "objectif" . C'est souvent un "intellectuel" ou un "militaire" affamé de gloire personnelle.
il existe d'innombrables "idiots inutiles"
il existe enfin des "utiles" parfaitement conscients : o les considère généralement comme des traîtres
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Gabriel Leroux : Depuis la guerre du Golfe on constate que les opérations militaires exercent une véritable fascination sur les médias, et sur l'opinion publique. La guerre en direct n'est-elle pas devenue un produit médiatique de grande consommation ?
Christian Delanghe : Les opérations militaires sont aujourd'hui largement couvertes par les médias, et tout particulièrement la télévision. Les moyens de communication par satellite permettent en effet de présenter en direct tout événement en tout point du globe. Chaque intervention militaire est donc retransmise en temps réel sur nos téléviseurs, comme le débarquement des " marines " américains en Somalie, ou le déclenchement de frappes aériennes sur Bagdad, Belgrade ou Kaboul par exemple.
Ces actions sont souvent présentées comme de véritables spectacles, par les " journalistes vedettes " des grands réseaux de télévision et longuement commentées par une cohorte de " stratèges " médiatiques de tout bord. Cette guerre en direct sur nos écrans exerce effectivement une grande influence sur l'opinion publique, qui banalise ainsi l'emploi de la force et distingue de plus en plus difficilement la dure réalité de la guerre, du monde virtuel présenté dans les nombreux films de guerre diffusés par le cinéma et la télévision. Cette possibilité de suivre aujourd'hui " la guerre en direct ", confortablement installé dans son fauteuil, est un élément nouveau, dont les conséquences peuvent être très graves sur les réactions des uns ou des autres vis à vis de la violence.
Gabriel Leroux : Dans notre monde où l'information est continue et continuelle, on a l'impression que la moindre décision et la moindre opération militaire sont susceptibles d'être relevées et relayées par les médias. Cela a-t-il entraîné une plus grande transparence dans le fonctionnement des armées ? Ou, au contraire, doit-on moins naïvement penser que les armées maîtrisent suffisamment les processus de communication pour donner l'illusion d'une transparence dans le fonctionnement et dans le processus de décision ?
Christian Delanghe : La présence permanente des médias sur les théâtres d'opérations est aujourd'hui un facteur important dans la conduite des actions militaires. Dans un souci de transparence, mais aussi de sécurité, les responsables militaires doivent disposer d'éléments chargés de leur communication médiatique, afin de pouvoir maintenir un contact permanent avec les médias, leur transmettre les informations dont ils ont besoin pour suivre le déroulement des opérations. Il est également nécessaire de pouvoir, dans une certaine mesure, organiser et faciliter leur présence et leurs activités sur le terrain, sans remettre en cause les principes de préservation du secret dans la préparation et la conduite des opérations. La sécurité des journalistes doit également être assurée dans de bonnes conditions, certains d'entre eux, emportés par la passion de leur métier, prenant parfois des risques excessifs au regard du déroulement des combats.
C'est donc une relation confiante et équilibrée qui doit s'instaurer entre les médias et le militaire, afin de permettre la plus grande transparence dans l'action, tout en respectant les règles fondamentales de sécurité pour les uns et les autres, et en préservant la part de secret, indispensable au succès de toute opération.
Gabriel Leroux : Lors des situations de crise internationale, certains dénoncent un contrôle de plus en plus strict exercé sur les informations et les médias. N'y a-t-il pas un risque de dérive pour la démocratie ? Jusqu'à quel point peut-on limiter la liberté d'information et d'expression ?
Christian Delanghe : Lors des crises récentes que nous venons de vivre, il est excessif de prétendre que les armées ont exercé un contrôle de plus en plus strict des informations et des médias. D'ailleurs en ont-elles les moyens ? Il est vrai en revanche que certaines informations touchant directement au déroulement des opérations ne peuvent et ne doivent pas être diffusées dans la presse. En effet, l'action militaire reste un acte particulièrement dangereux et le militaire en opération, qu'il soit pilote, fantassin ou marin, risque à tout instant sa vie dans l'exécution de sa mission. Il est donc indispensable, pour assurer sa sécurité d'une part, et le succès de son action d'autre part, que certaines limites soient fixées dans la diffusion des informations opérationnelles.
Ce contrôle dans la diffusion des informations relève de décisions de nature essentiellement politique. En effet, dans nos démocraties, les autorités politiques assurent, au travers de la chaîne de commandement, un contrôle permanent des décisions et des actions conduites sur un théâtre d'opérations. Le choix des cibles des frappes aériennes, la décision d'engagement de forces spéciales et d'unités chargées de renseignements sur un théâtre extérieur par exemple, sont des responsabilités de niveau politique, exercées par nos autorités gouvernementales. Il n'y a donc pas de risques de dérive puisqu'elles représentent, dans nos démocraties, l'expression de la souveraineté et de la volonté nationale.
Gabriel Leroux : On a l'impression aujourd'hui que beaucoup d'opérations militaires, de maintien de la paix ou d'interventions humanitaires sont décidees en fonction de leur aspect médiatique, ou de leur possible médiatisation. N'est-ce pas là un effet assez dangereux de l'influence des médias sur les activités militaires ?
Christian Delanghe : L'influence des médias est en effet de plus en plus grande dans le processus d'évaluation de situation et de prise de décisions en matière d'engagement militaire dans les opérations de maintien de la paix et d'action humanitaire.
Dans nos pays, l'opinion publique supporte de moins en moins l'inaction face aux images de victimes d'attentats, de flots de réfugiés ou d'exactions de toutes natures perpétrées dans le monde contre des populations impuissantes. Largement présentées par nos médias, de telles situations conduisent même certains responsables à parler de droit et de devoir d'ingérence. Initiée et relayée par les médias, la pression exercée par l'opinion publique conduit de plus en plus souvent nos responsables politiques à intervenir militairement, afin de mettre un terme à la crise et de créer les conditions favorables au retour à une situation stable et durable.
Malgré son fort impact médiatique, l'intervention militaire à elle seule ne peut suffire pour résoudre les crises qui secouent le monde d'aujourd'hui. Elle permet certes de rétablir ordre et sécurité, mais elle doit s'accompagner d'actions plus vastes de la communauté internationale dans les domaines politiques, économiques et humanitaires.
Gabriel Leroux : Les médias permettent à la fois un contrôle des décisions et des actions militaires par l'opinion publique et une préparation de l'opinion publique aux actions militaires. N'y a-t-il pas là un jeu dangereux fait d'incitations réciproques ? Un risque d'effet d'engrenage ?
Christian Delanghe :: Dans ce domaine très sensible, il convient d'examiner avec précision le rôle et les responsabilités de chacun.
Dans nos démocraties, la décision d'emploi de la force armée est une responsabilité de nature essentiellement politique. Les autorités gouvernementales doivent en permanence exercer leur contrôle des actions militaires qu'elles ont décidees. De leur coté, par le rôle qu'ils jouent comme relais d'opinion, les médias assurent en quelque sorte une forme de contrôle permanent des décisions prises par les responsables politiques. Ils apportent également, par leur présence sur le théâtre des opérations militaires, une vision plus ponctuelles des actions conduites et de leurs effets sur le terrain. Il s'agit là d'un processus démocratique normal, permettant d'éviter toute dérive dans l'emploi de la force militaire.
Toutefois, si l'un des acteurs prend un rôle trop important, ou à l'inverse néglige de tenir sa place dans ce processus, il y a là en effet un risque d'engrenage.
S'agissant de l'influence des médias sur ce processus, elle peut être très considérable dans un sens comme dans l'autre. Elle peut, par une mobilisation très forte de l'opinion publique entraîner un pouvoir politique faible dans une action militaire excessive . Elle peut également, comme ce fut le cas par exemple aux Etats-Unis pendant la guerre du Vietnam, exercer une pression suffisamment forte sur le pouvoir exécutif pour mettre un terme à un engagement militaire aux effets incertains.
Là encore un juste équilibre doit s'instaurer entre les différents acteurs : pouvoir politique, outil militaire, médias et opinion publique afin que l'intervention militaire et l'emploi de la force restent fidèles à la volonté nationale et aux fondements de nos démocraties.
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Leftist bias in the media: serious worldwide problem
The persistent influence of leftist and liberal editors, journalists and reporters of most important media centers in the West, which translates into a bias that misinforms, constitutes a serious problem inherited by the XXI Century, and creates an obstacle to international understanding and coexisting.
Through sophisticated writing techniques, with the help of social psychology and propaganda, relevant issues are distorted or silenced, myths are created and almost instantly the public opinion is emotionally stirred, which in most respects is more dangerous than even chemical or biological weapons because intelligence, will and the sensitivity of the people are being manipulated.
In the United States, the liberals in the media act as a true "Trojan horse". In 1985 Los Angeles Times conducted an opinion survey which included 2,700 journalists from 621 newspapers. Those which responded with liberal ideas surpassed conservatives by more than 3 to 1 (55% versus 17%). Surveys done by the American Association of Newspaper Editors (ASNE) in 1988 and 1997 confirmed in general terms those results.
Several recent books have revealed the phenomenon of liberal bias used to misinform. For example, "Bias: A CBS Insider Exposes How the Media Distort the News", by Bernard Goldberg; and "Slander: Liberal Lies About the American Right , by Ann Coulter. Few people are aware that the communist dictator in Cuba, Fidel Castro, came to power and remains in power for more than 40 years with the decisive support, direct or indirect, of major North American mass media agencies, as evidenced in the studies "The New York Times and Cuban Revolution", by William E. Ratliff and "Castro and the United States Press", written by John P. Wallach.
In Latin America, especially in Brazil, the leftist influence in the media is one of the factors behind the recent waive of anti-North Americanism, which has among its objectives to impede the establishment of a natural alliance among the healthier sectors of North and South America. Regrettably, there does not appear to be a proportionate interest and determination from the conservative North American journalists to exhibit their points of view in the Latin American press, through articles, conferences and participation in debates. This constitutes a problem which should be addressed being that History demonstrates that battles of ideas are much more decisive than military battles.
In Europe, liberalism in the media is also intensely manifested, with different characteristics of each country, but with the same objective of opening gaps between the more healthier sectors of public opinion in the Old and New continent, which have a common longing for the defense of the principals of Christian civilization.
Leftist editors and journalists insist, in the same manner, to consigning the crimes of communism in Russia and Eastern Europe to oblivion. For example, the reception of the second volume of "The Black Book of Communism", written by a knowledgeable team of French historians and recently released by the Editorial Robert Laffont, has been of almost complete silence by the European press, according to one of its authors, Stéphane Courtois, Director of surveys for the CNRS of France. This is not a new phenomenon. Pope Pío XI referred to a "true conspiracy of silence" regarding the crimes of communism in large part due to the press worldwide, together with a "truly diabolical propaganda" in favor of ideas and lifestyles of anti-Christians.
Information bias is always reprehensible and it has not only been used by liberals and leftists. However, it is they that have mostly taken advantage of it. To protect oneself against the phenomenon of disinformation and chaotic news, the most affective antidote is the exercise of sound reflection based on logic, common sense, objectivity and the moral convictions which have as their foundation the Commandments of the Law of God.
The Center of Media Studies (Centro de Estudios sobre la Información) has as its fundamental objective to contribute to the development of a critical spirit in the Americas as it relates to information bias in the media.
FREE OFFER: To receive an e-mail containing the study "Media Bias Basics", an analysis from the Media Research Center regarding liberal influence in North American media; the article "NY Times 'Black Eye'", from Carl Limbacher; "The Left, Fidel Castro and Moral Equivalence", from Chuck Morse; etc., please click on:
LiberalBias:Documents
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COMPLEMENTS:
- D.Lucas et A.Tiffrau: "Guerre economique et information: les stratégies de subversion" ED. Ellipses : Emergence d'une culture subversive (plan commecrial de l'Allemagne, Komintern). La contestation ecologique. La dissuasion économique, l'arme de l'opinion publique, les stratégies de dissuasion.
- François Robert Huyghe: "L'ennemi numérique" PUF Collection;défense et défis nouveaux
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Site de guerre de l'information
Site guerreco.com http://www.guerreco.com
Guerre de l'information : dossiers d'actualité, sites sur l'info-guerre, la désinformation, le cyber-terrorisme, les hackers, les virus, la cryptographie, la protection de la vie privée et l'évaluation de l'information. http://www.strategic-road.com/dossiers/infowafr.htm
Information warfare: http://www.interpactinc.com/IW1-1.pdf
The Convoluted Terminology of Information Warfare Compiled by Randall Whitaker, Ph.D Glossary of Information Warfare Terms
L'appareil de "propagande et de désinformation de Saddam" (Maison Blanche).
www.whitehouse.gov/ogc/apparatus/apparatus-of-lies.pdf
Echelon http://www.echelonwatch.org/
Système existant de génération automatique de journal en ligne : http://news.google.com/
Le MIT Media Laboratory http://www.media.mit.edu/
En France : Laboratoire de Recherche sur le Langage http://maison-recherche.univ-bpclermont.fr/labos/lrl.htm
http://www.communication-crise.com/CCCnewsletter/
May 12, 2003: Editorial, Center of Media Studies (Centro de Estudios sobre la Información), Buenos Aires-Santiago de Chile (translated from original in Spanish)
- Sociétés spécialisées :
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