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STRATEGIES MONDIALES
Auteur:

Sous une forme ou une autre, le gouvernement mondial de l'économie et de la société n'est certes pas un fait acquis, mais il est sans doute moins utopique que l'essai de prévision à quinze ans des risques économiques et politiques.

Chacun est libre de choisir son mode de chauffage, mais il n'est pas interdit de s'entendre pour définir les règles de sécurité collective et pour financer la brigade de sapeurs-pompiers. C'est à peu près la raison d'être d'institutions telles que le FMI, le GATT, la Banque Mondiale, le G7, le Club de Paris etc... C'est aussi le champ d'influence de l'opinion publique mondiale en cours de formation sur certains themes tels que les Droits de l'Homme, l'écologie, la guerre nucléaire, l'aide au Développement.


A- QUELS ACTEURS?

La conduite des affaires mondiales ne procède pas nécessairement d'un acteur unique désigné pour cela mais plutôt d'un vaste système d'acteurs à qui s'ajoutent des valeurs et procédures consolidees par la tradition et des courants d'idees en cours d'enracinement.

  • 1°) Les états et systèmes d'états:

Ils sont encore au premier rang de l'élaboration d'un ordre mondial à cause de leur prééminence dans les domaines de la sécurité intérieure et extérieure, de la fixation des règles avec monopole de la force, de l'identité culturelle des populations, de la solidarité.

Mais beaucoup de choses leur échappent dans la conception d'un ordre du monde:

- le comportement des autres états,

- les organisations intergouvernementales publiques et privées,

- les entreprises

- les particuliers et des groupes.

  • 2°) Les Institutions publiques internationales

représentativité, impartialité, principes fiables et image insatisfaisante (bureaucratie bavarde et coûteuse, prétoire )

  • 3°) Les institutions internationales privées
  • 4°) les entreprises
  • 5°) les entreprises multinationales
  • 6°) L'opinion publique mondiale

L'existence ou le souhait généralisé de normes de comportement international déterminent un minimum de contraintes (faire ou ne pas faire) et de critères de jugement qui permettent une certaine prévisibilité des actes et donc une limitation des risques liés à l'incertitude.

Ces normes ont joué et jouent un rôle dans le droit de la guerre, la protection des droits de l'homme, le droit international de la mer et du commerce etc...

Les attitudes de l'opinion mondiale se diffusent à travers les frontières par les élites dirigeantes (ou aspirant à diriger) ou par des minorités activistes (cas fréquent du prosélytisme religieux ou idéologique).

Partant d'une position extra-nationale, l'opinion mondiale peut entrer en conflit avec une opinion nationale centrée sur des intérêts spécifiques. C'est encore plus évident quand, à tort ou à raison, l'opinion mondiale est suspectée de refléter les valeurs ou les intérêts ou la capacité de communication d'une puissance dominante.

Mais il y a interférence entre les deux, à condition évidemment que les réseaux de communication ne soient pas coupés. L'opinion mondiale peut en effet attirer l'attention des acteurs nationaux trop égocentriques sur des critères d'action différents...et sur des risques de représailles.

Les grands themes de revendication mondialiste, themes pacifistes, humanitaires, écologiques sont souvent adressés aux états qui les relaient auprès des organisations internationales et des autres états. La pression défie parfois l'autorité des états et prend un caractère révolutionnaire dans ses principes et même dans ses méthodes (terrorisme d'extrême-gauche, mouvements autonomistes, Greenpeace...).

L'opinion mondiale ne suscite pas la même rigueur d'adhésion ni la même clarté des valeurs et des codes que les solidarités plus proches et notamment les solidarités nationales. Cela s'explique aisément par le retard dans l'apparition des themes mondiaux, la quasi-absence de règles contraignantes pour la vie quotidienne, le caractère souvent éloigné des liens entre un risque mondial et un comportement individuel.


B- PRINCIPES ET ATTITUDES

Chaque époque s'est forgée une conception dominante de la société internationale et de la justification des conflits. A l'Europe chrétienne du Moyen-Age a succédé le principe dynastique des XIV° et XV° siècles (conflits entre les Valois et les Habsbourg), puis les guerres de religion autour de la Réforme et de la Contre-Réforme. Le Traité de Westphalie de 1648 institue le principe de souveraineté ("cujus regio, ejus religio") et de la raison d'état. Les guerres révolutionnaires et impériales diffusent le principe des nationalités. Entre les deux guerres mondiales, le conflit est entre les démocraties et les "religions séculières" (selon le mot de Raymond Aron) du communisme et du national-socialisme. Jusque vers 1990, c'est le conflit entre les démocraties occidentales et le communisme, avec l'appariton des non-alignés.

Où en est-on aujourd'hui?

    - les religions à vocation universaliste

    - le consensus de Washington:

Les autorités économiques internationales sont elles aussi soumises aux modes, ou du moins à des conceptions changeantes du monde.

Pendant les années Raul PREBISCH, la clef du développement était recherchée dans la substitution d'importations et une forte dose d'interventionnisme.

Après la crise de la dette, le Plan BRADY reconnaît en 1985 la nécessité de réduire la dette existante et pas seulement de la rééchelonner. Ce réalisme dans la réduction s'accompagne d'une démarche pressante en faveur de politiques économiques capables de restituer la confiance par l'ajustement structurel, l'ouverture des frontières, la libéralisation et même la privatisation des économies.

Un tel corpus d'idees a été mis en oeuvre dans les pays d'Asie (où les gouvernements restent cependant assez interventionnistes) puis d'Amérique Latine (où les succès sont récents) et bientôt dans les pays de l'Est. Les exemples de revirement les plus significatifs sont ceux du Mexique et de l'Argentine.

La philosophie commune au FMI et à la Banque Mondiale constitue aujourd'hui l'environnement politico-juridique de référence pour les pays émergents. La plupart des pays d'accueil reconnaissent leur intérêt à payer le prix d'une intégration dans les circuits de l'économie internationale et finissent par accepter les principes du "Consensus de Washington".

- le Tiers-mondisme

- l'écologisme


C- QUELS INSTRUMENTS ET MECANISMES?

Le façonnement du monde ne résulte qu'exceptionnellement d'une volonté mondiale appliquée au champ mondial. Plusieurs niveaux de mécanismes et instruments sont à l'oeuvre.

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L'interaction entre états nations:

L'équilibre économique et la croissance d'un pays, notamment ses ressources extérieures, dépendent souvent d'initiatives prises par des tiers : baisse de commandes, obstacles aux échanges, concurrence efficace, modification des taux d'interêt ou de change. La paix dépend des systèmes de défense et d'agression mis en place par alliés et adversaires potentiels etc...De l'interaction entre états naît une interdépendance qui définit une certaine physionomie du monde

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La globalisation et le risque systémique:

L'existence d'un marché mondial, pas seulement international, avec ses mécanismes et ses acteurs spécifiques, se fait sentir en dehors de l'action des états. Dans les domaines financier, monétaire, énergétique ou technologique, aussi bien que dans la vie socioculturelle et politique, les décisions, les impacts et les crises ont souvent un caractère systémique pas forcément imputable à la volonté ou à la responsabilité d'un acteur isolé.

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Le mondialisme volontariste:

C'est la globalisation plus ou moins volontariste résultant d'une vision du monde telle que la démocratie de marché ou le développement supportable. La diffusion de la démocratie, ou de l'économie de marché, ou de la préoccupation écologique, ou encore de l'intervention humanitaire ne sont pas sans effet sur les entreprises de tel ou tel pays.

  • 1°) Les instruments de la paix et de la sécurité

    • a) les systèmes d'états:
      • defense nationale
      • alliances militaires,
      • accords de sécurité: le système OTAN/Pacte de Varsovie, complété par la dissuassion nucléaire ne concernait pas seulement la sécuité des deux superpuissances, ni même les seules nations contractantes mais impliquait de fait l'essentiel des pays du Tiers monde constituant ainsi une forme d'ordre mondial.
    • b) le système des Nations-Unies
  • 2°) Les instruments économiques

Qui assure, qui doit assurer la définition et la régulation du système d'échanges et de relations?

Fleche_haute60E0.gif (891 octets) L'Amérique,comme au bon vieux temps? parce qu'elle est la première puissance économique et militaire mondiale? parce que personne n'a vraiment intérêt à un réajustement de son pouvoir d'achat et d'emprunt?
Fleche_haute60E0.gif (891 octets) Le groupe des grandes puissances, le G7 (devenu G8 après intégration de la Russie). Ses instruments : la puissance économique et, le cas échéant, la gestion concertée de la monnaie et du crédit.
Fleche_haute60E0.gif (891 octets) Les négociations entre blocs: notamment les trois pôles de l'OCDE entre eux, les relations avec les pays de l'ancienne URSS, les relations avec les pays endettés du Sud, ou avec les pays pétroliers.
Fleche_haute60E0.gif (891 octets) Un gouvernement économique mondial de type ONU? rôles du GATT, de la CNUCED, du FMI ainsi que des institutions non-gouvernementales telles que la Chambre de Commerce internationale ou le Club de Londres bancaire.

Il est intéressant de constater l'évolution des techniques dans les banques internationales de développement en application du Consensus de Washington déjà mentionné. Plus qu'au simple effet physique des financements accordés, les organismes publics internationaux semblent vouloir s'attacher à la mise en place d'un climat favorable à la croissance (réformes de structure, ouverture à l'extérieur, accès aux marchés riches).

Fleche_haute60E0.gif (891 octets) a) AJUSTEMENT STRUCTUREL:

L'ajustement structurel comporte:

- des programmes de stabilisation visant à restreindre à court terme la demande interne et cela principalement par une réduction du déficit budgétaire;

- des réformes tendant à améliorer l'efficacité productive à moyen et long terme.

Fleche_haute60E0.gif (891 octets) b) OUVERTURE EXTERIEURE:

Contrairement à la philosophie des années soixante, fondée sur la substitution d'importations, la nouvelle philosophie de la Banque Mondiale encourage une croissance extravertie, tirée par l'exportation. Ceci implique un taux de change compétitif, la libéralisation des échanges, la réduction des obstacles à l'importation, l'accueil des capitaux étrangers.

Fleche_haute60E0.gif (891 octets) c) LIBERALISATION, PRIVATISATION:
  • A la Banque Mondiale, le marché est considéré comme meilleur allocateur de ressources que l'Etat. Le recours aux mécanismes du marché implique:
  • - une aussi large déréglementation que possible, et bien entendu l'abandon de toute forme de planification centralisée;

    - la privatisation des entreprises publiques considérées comme coûteuses et peu efficientes; malgré ses bonnes intentions à terme, le mouvement de libéralisation n'a pas toujours facilité la simplification du cadre légal, notamment en ce qui concerne le régime de propriété et la capacité juridique des acteurs économiques publics ou privés en Europe de l'Est et dans l'ancienne Union Soviétique.

    - la libéralisation financière et la libre détermination des taux d'intérêt à long terme par le marché international.

    - l'assistance au développement du secteur privé par le financement et la garantie des investissements, par la création de marchés financiers capables de mobiliser l'épargne locale dans les pays émergents.

Philosophies du développement et de la coopération, principes d'action et techniques financières contribuent à restituer la confiance des capitaux, à faciliter l'investissement privé, à extraire les projets du cadre politique (parfois malsain) et des relations trop exclusivement bilatérales dans lesquels ils se complaisaient dans les années 70.

Dans ces conditions idéales, le problème du risque politique peut, en principe, changer de nature et de degré. Surveillé en amont par l'incitation internationale à conduire des politiques raisonnables, étalé donc modéré par l'échelonnement de la dette et l'ajustement structurel, il devient un simple incident de parcours sur une voie bien balisée, un écart parfaitement réversible entre partenaires de bonne compagnie. La main invisible du marché et la coopération internationale peuvent et doivent résorber les crises.

Cet optimisme est sans doute prématuré pour trois séries de raisons:

    • a) l'ajustement structurel peut être en lui-même facteur de risque politique. Parmi bien des travaux d'inspiration analogue, l'étude polémique et documentée de Susan George, du Transnational Institute, attribue au mode de gestion de la dette du Tiers Monde un "Effet Boomerang" sur la déforestation, la drogue, la fiscalité, le chômage, l'immigration et la guerre.

Cette argumentation est sans doute excessive mais elle mérite d'être connue puisqu'elle reflète certaines idees en cours dans les pays débiteurs mais aussi dans les groupes de pression" mondialistes" qui se pressent autour de la Banque Mondiale... et du Congrès des Etats-Unis;

    • b) l'ajustement structurel, par lui-même, n'évacue pas le risque politique puisque, en l'état actuel, les négociateurs se refusent précisément à l'envisager.
    • c) on ne connaît pas très bien la manière d'éviter les crises politiques entre les états ou à l'intérieur des états. Deux principes- le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes et la démocratie pluraliste- ont été introduits dans la thérapeutique internationale mais n'ont pas encore donné pleine satisfaction...depuis la fin de la Première Guerre Mondiale. L'Histoire n'est pas terminée...

Quoi qu'il en soit, le "consensus de Washington" et la démocratie de marché tendant à la globalisation constituent l'approche la plus cohérente dont on dispose aujourd'hui, et d'ailleurs la seule disponible depuis l'implosion du monde communiste.

Il sera temps de réagir si devaient se diffuser d'autres approches, par exemple celle du réalisme politique et des blocs commerciaux fermés ou même un universalisme d'origine non occidentale: la Charia, par exemple, ou encore le chaos de relations non maîtrisées.

  • 3°) Les instruments sociaux
    • la gestion des opinions
    • l'aide humanitaire et la redistribution des revenus

  • CONCLUSION Les enjeux de niveau mondial paraissent s'ordonner autour de quatre grands themes:

    - la sécurité et la paix (pour tous)

    - le bien-être économique (pour tous)

    - le progrès écologiquement soutenable( pour tous)

    - l'équilibre entre l'oecuménisme et l'affirmation d'identité (pour chacun).

    Chacun de ces domaines est porteur de contradictions, de conflits et de risques. La capacité de les traiter d'un point de vue global ou du point de vue de chaque acteur concerné est sans doute la clé des risques à venir.

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