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Diabète : des cyclistes qui se sucrent

Douceur / dimanche 21 décembre 2008 par Dr Jean-Pierre de Mondenard
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Etre malade, c’est la santé. Surtout pour les athlètes, jamais aussi bons que quand ils ot des petits soucis récurrents avec leurs corps.

Etre diabétique et forçat de la route ? C’est possible. Mieux, aux Etats Unis une équipe de professionnels du vélo recrute de préférence des athlètes souffrant de cette pathologie. Il faut dire que l’activité de cette équipe, « Team Type 1 », est de diffuser du matériel pour le traitement et le suivi des diabétiques insulinodépendants, dits de type 1. A quand le gagnant du loto engagé par la Française des jeux ! En 2009 « TeamType 1 » a recruté le Belge Willem Van den Eynde qui, lui aussi, est un sportif «  malade » mais qui démontre que la pratique intensive du vélo est compatible avec, dans la musette, le port de ce fardeau qu’est le diabète.

Diabétiques de tous les pays, unissez vous : à vos pédales !

Le « Team Type 1 » a vu le jour en 2004 avec, comme principal objectif, d’inciter les personnes atteintes du diabète à adopter «  une approche positive dans la gestion de leur santé ». Le but, surmonter les obstacles liés à cette maladie chronique. Grâce à l’aide des « outils » fournis pour traiter cette affection (insuline), grâce à l’activité physique, notamment cycliste, grâce enfin à un mode vie sain (alimentation équilibrée), une personne atteinte du diabète peut se comporter comme un sujet tout à fait normal et accomplir des performances sportives de haut niveau. Depuis 2008, le « Team Type 1 » (le diabète insulinodépendant étant qualifié de type 1 par opposition au diabète gras de l’adulte dit de type 2), exerce son activité cycliste en « continental », plus particulièrement sur le circuit des courses américaines. Pour un effectif total de quinze coureurs, elle compte dans ses rangs cinq diabétiques.

Mais Bakchich, plus fort que les Américains, propose, lui, à tous diabétiques de tous types confondus (sauf les sales types) de pratiquer le cyclisme en loisir ou en compétition (vous me direz, en ce moment ça glisse et ça caille). Comme c’est Noël, je vais vous raconter en guise de conte, la jolie histoire de Dominique Garde, champion français insulinodépendant et néanmoins capable de participer au Tour de France 87 et d’être sélectionné dans l’équipe de France, la même année, pour les Championnats du monde de cyclisme sur route professionnels !

Garde ton diabète

Tout commence fin septembre 1986 lors du critérium de Poitiers. Un spectateur veut récupérer un bidon qui traîne sur la chaussée, Dominique Garde ne peut éviter l’inconscient et se retrouve par terre avec une fracture de la clavicule. Une vingtaine de jours après la fracture, il se sent toujours faible alors que ce genre de pépin est généralement très bien supporté par un cycliste de compétition. De plus, il souffre sans cesse de la soif et perd beaucoup de poids. Des analyses révélèrent alors que le Stéphanois est diabétique, qu’il lui faut adapter sa pratique sportive intensive au traitement de cette maladie. Hospitalisé pendant une semaine, les médecins lui placent une pompe à insuline, petit appareil qui distribue en permanence l’hormone indispensable, et lui apprennent à se soigner. L’amaigrissement est stoppé net, la fatigue envolée et ce vainqueur du Midi Libre 1984 peut assez vite remonter sur son vélo pour des sorties quotidiennes. Au moment où il voit la fin de ses ennuis, patatras, c’est une nouvelle chute, mais cette fois à skis.

A Saint Etienne, il est opéré de fractures multiples de la rotule par le professeur Gilles Bousquet, un chirurgien alors bien connu des footballeurs. Les fragments osseux sont recollés à l’aide de deux broches et Dominique Garde doit attendre le départ de cette ferraille pour regrimper sur le vélo. Son retour en compétition s’effectue au Tour de l’Oise, le 15 mai 1987. Puis, un bon comportement lors du « Dauphiné », une course par étapes, confirme que son articulation a retrouvé son plein rendement. Si bien que Paul Koechli, son entraîneur, l’inclut dans l’équipe Toshiba-Look du Tour de France. Commentaire du coach : « C’est moins son diabète que sa rotule qui m’a fait hésiter, car il revient quand même de très loin. Mais c’est un garçon sérieux et il marche bien actuellement. » Bien vu puisque Dominique Garde prend une méritoire 54e place sur 135 arrivants et 207 engagés. Dans la foulée (amis j’ignore l’équivalent de « foulée » quand on parle de vélo !) il gagne donc sa sélection en équipe de France pour les Championnats du monde en Autriche. Pas mal pour un malade, gloria !

Diabète sucré = insuffisance d’insuline

Que ce conte étonnant soit un encouragement à nos amis diabétiques qui, en dehors de lire Bakchich, font aussi du vélo (l’Ipod permet parait-il de faire les deux mais c’est risqué). Encouragement aussi aux autres patients, l’activité physique leur fait peur et ils ont le sentiment d’être des exclus. En forme de bonus, voici donc la recette appliquée par Dominique Garde, une ordonnance sans tampons. Petit leçon. Le diabète est caractérisé par une difficulté de l’organisme à utiliser correctement les hydrates de carbone (ou sucres de l’alimentation), ce qui se traduit dans le sang par, justement, un taux trop important de glucose.

Le diabète insulinodépendant (puisqu’il existe des diabètes non insulinodépendants) est, lui, dû à une sécrétion pour rôle de maintenir le glucose à un taux normal dans le sang. L’insuline est un peu comme le pied sur l’accélérateur : pour que la vitesse demeure satisfaisante il faudra savoir, selon que la route monte ou descend, appuyer ou relâcher la pédale. Fin de la métaphore, pour conduire un traitement satisfaisant, il faut apprendre à adapter en injectant plus ou moins d’insuline suivant la dépense physique et l’alimentation quotidienne. A savoir par ailleurs, le diabète de l’homme jeune non obèse, comme c’est le cas du Stéphanois, est le plus souvent d’origine héréditaire. Parfois, on ne le découvre que par hasard, à l’occasion d’un examen médical un peu approfondi (comme ceux que l’on pratique ou que l’on devrait pratiquer pour renouveler la licence annuelle attachant à un club de sport), parfois, il se signale par des changements, tels qu’un accroissement de l’appétit associé à un amaigrissement et de la fatigue ou à une soif intense. Parfois enfin, on le décèle grâce à des troubles cutanés, les plaies ne cicatrisant pas ou ne cicatrisant que très lentement.

Le diabète est détecté par dosage du sucre dans les urines et dans le sang, on parle alors de glycosurie et d’hyperglycémie qui, d’ailleurs sont souvent associées. Dans le sang, la quantité de glucose est supérieure au taux normal qui avoisine les 1 gramme par litre chez le sujet non diabétique. L’amaigrissement et la faim s’expliquent ainsi : le glucose, en raison de l’absence d’insuline, ne pénétrant pas normalement dans les cellules de l’organisme, est inutilisé et rejeté. Il y a donc « fuite » urinaire du glucose. Manquant alors de carburant, les muscles se ravitaillent dans les stocks de graisse et de protéines, processus qui est à l’origine de l’amaigrissement. Ce n’est pas une raison, pour les lectrices de magazines féminins, de souhaiter que le diabète leur tombe sur la tête pour être belles en maillot.

« Avoir la pompe »

Chez le sujet normal le pancréas sécrète de l’insuline en permanence pour assurer l’utilisation correcte du glucose. Au moment des trois repas, l’insuline augmente brutalement pour permettre le stockage des réserves qui seront utilisées plus tard, par exemple lors d’un effort musculaire éloigné de la prise du repas. En cas de baisse du glucose sanguin, lors d’une activité physique prolongée, la sécrétion d’insuline cesse. Chez un diabétique insulinodépendant, l’insuline est administrée par piqûres quotidiennes ou à l’aide d’une pompe) . Le patient doit alors « mimer » au mieux la nature et donc la sécrétion d’insuline par le pancréas.

Les médecins de Dominique Garde ont choisi la seconde solution. Il portait sur le ventre un petit appareil miniaturisé délivrant en permanence une faible quantité d’insuline. Cet apport, pour chaque patient, est déterminé en milieu hospitalier, et il varie bien sûr d’un individu à l’autre. La dose étant idéalement fixée en fonction des résultats d’un contrôle sanguin opéré par l’analyse d’une goutte de sang extraite du bout d’un doigt, le type d’alimentation et surtout la difficulté et la durée des sorties cyclistes étant bien sûr des paramètres dont il faut tenir compte.

Pour mimer au mieux les besoins, une quantité supplémentaire d’insuline rapide, appelée bolus, est injectée par la pompe 5 à 10 minutes avant chaque repas afin de compenser le supplément de sucres apporté par l’alimentation du repas qui arrive dans le sang. Avantage considérable par rapport au traitement classique de deux injections journalières d’insuline de type rapide mélangée à de l’insuline de type semi-lente, le système par pompe plus bolus, étant beaucoup plus souple et adapté aux besoins de l’organisme, impose quant à lui des doses journalières d’insuline inférieures d’environ 40%.

Le Tour de France, une thérapeutique new look du diabète

En raison de la dépense énergétique considérable provoquée par l’entraînement quotidien d’un cycliste de haut niveau, il est possible, pendant la durée de l’effort de débrancher la pompe. D’ailleurs, pendant les 25 étapes du Tour de France 1987, et même durant les 10 jours qui ont suivi le final des Champs-Élysées, Dominique Garde a complètement cessé son traitement car la dépense glucidique d’un géant de la route étant exceptionnelle, son taux de sucre dans le sang se maintenait à un niveau normal sans besoin d’insuline supplémentaire. Ainsi, pendant la grande boucle, la seule contrainte du Stéphanois par rapport à ses coéquipiers, consistait matin et soir, après les repas, à prélever une goutte de sang au bout d’un doigt afin de vérifier le niveau de sucre grâce à un petit appareil d’analyses : le glucometer (aujourd’hui, il existe une nouvelle génération d’appareils automatisés). Moi-même, il y a plus de 30 ans, alors que je dirigeais des centres d’enfants diabétiques pendant l’été, j’ai entraîné progressivement, sur un mois, une dizaine de jeunes de 13 à 17 ans. Au terme du séjour, ce groupe de diabétiques insulinodépendants, mes petits cobayes, a effectué une randonnée à bicyclette de 200 kilomètres dans la journée sans la piqûre habituelle d’insuline. Et sans que survienne le moindre incident de santé ce jour-là et les suivants. Trente ans après, ces diabétiques parlent encore de leur « exploit » !

Vélosuline

Pour l’anecdote, et cela ne s’invente pas, l’insuline qui alimentait la pompe de Dominique Garde portait le nom commercial de Vélosuline. L’exemple de Dominque Garde, celui de mes petits patients du camp de vacances, démontrent que le diabétique ne doit pas être considéré comme un diminué physique. Non seulement par son entourage, mais surtout par son médecin. La crainte des complications incite les uns et les autres à éviter tout ce qui peut paraître « dangereux », le cyclisme de compétition, exposant le sujet aux intempéries, aux traumatismes par chute et au surmenage physique, inspire donc de la méfiance. Or, les études scientifiques, corroborées par des expériences sur le terrain de sport, et le cas exemplaire de Garde étant emblématique, montrent que le diabète est parfaitement compatible avec l’exercice à condition qu’il soit bien équilibré au double plan des doses d’insuline et de l’alimentation.

LE CLUB DES CHAMPIONS DIABÉTIQUES

Depuis très longtemps, certains médecins avant-gardistes recommandaient le sport à leurs diabétiques et, sans devoir remonter au déluge, il convient de rappeler qu’à la fin du XIXe siècle, le docteur Apollinaire (1809-1886) Bouchardat conseillait déjà à ses patients diabétiques "la chasse, l’escrime, les exercices musculaires, ramer, patiner, les jeux de paume, de billard, les travaux actifs de labourage et de jardinage". En fait, c’est véritablement vers les années 1950 que, grâce à l’un des meilleurs tennismen de l’époque William Talbert, la voie de la pratique sportive s’ouvrit aux diabétiques. Ce novateur, qui fut l’un des premiers à faire du sport en dépit de son handicap disait : " Etre diabétique ressemble beaucoup à élever un enfant : le diabète doit apprendre à vivre avec nous et non pas nous avec lui " Cette affection, bien que contraignante puisque le diabétique doit quotidiennement se faire une ou plusieurs piqûres d’insuline pour atteindre un équilibre physiologique voisin de la normale, est parfaitement compatible avec une activité physique telle que le cyclisme.

Palmarès des diabétiques de haut niveau :

Des exemples de champions diabétiques nous amènent à penser que le sport de compétition, loin d’être préjudiciable au diabétique insulinodépendant est, au contraire, un facteur de santé à condition que l’activité soit très régulière et l’équilibre biologique proche de la normale.

Lennart Bergelin (1925-2008) (tennis, Suède)

A fait parti de l’équipe suédoise de Coupe Davis de 1946 à 1951 et de 1953 à 1955 (à 9 reprises). Bergelin a "remporté" en 1975, par joueur interposé, le Saladier d’Argent. Il assuma, en effet, pendant toute la carrière de Bjorn Borg, le rôle de coach-entraîneur.

Gary Hall Jr (natation, USA)

Quintuple champion olympique, spécialiste du 50 et 100 m nage libre, il a participé à trois Jeux olympiques consécutifs de 1996 à 2004. Son père, Gary Hall Sr, lui-même ancien nageur est monté sur trois podiums olympiques en 1968, 1972 et 1976. En 1999, un bilan médical révèle que Gary Hall est atteint d’un diabète insulinodépendant de type 1 alors qu’il est en pleine préparation pour les Jeux de Sydney. Cela ne l’empêchera pas d’être champion olympique du 50 m et de récidiver quatre ans plus tard à Athènes en 2004.

Gary Mabbutt (football, Angleterre)

Milieu de terrain au club des Spurs de Tottenham, il a été plusieurs fois sélectionné dans l’équipe d’Angleterre professionnelle. A remporté avec son club la Coupe de l’UEFA en 1984.

Danny McGrain (football, Ecosse)

Ce défenseur du Celtic de Glasgow, malgré un diabète insulinodépendant (type 1) diagnostiqué en juillet 1974, a pu accomplir une longue carrière de footballeur professionnel de haut niveau. Son palmarès en témoigne : 62 sélections internationales de 1973 à 1982 et participation effective à deux coupes du monde en 1974 et 1982

Steven Redgrave (aviron, Angleterre)

Son diabète a été diagnostiqué en 1977 alors qu’il avait déjà remporté quatre titres olympiques. Trois ans plus tard, en septembre 2000, il s’octroie une 5e médaille d’or à Sydney en quatre sans barreur. Dans l’intervalle, de 1998 à 2000, alors qu’il est diabétique insulinodépendant, il ajoute à son palmarès trois Championnats du monde ; ce qui fait de lui le rameur le plus titré de l’historie.

Hamilton Richardson (1933-2006) (tennis, USA)

A fait parti de l’équipe américaine de Coupe Davis de 1952 à 1958. A remporté le Saladier d’Argent en 1954 et 1958. 3e mondial en 1956, 6e en 1958. La lecture du palmarès de ces deux joueurs montre que les U.S.A. ont remporté la Coupe Davis 1954 avec deux diabétiques.

Lanciotto Guido Saltamerenta (kayak, Italie)

A fini 2e du championnat italien de descente de kayak en patrouille en 1981.

William Talbert (tennis, USA)

Dit Billy, a remporté la Coupe Davis à trois reprises avec l’équipe des Etats-Unis 1948-1949-1954. Vainqueur du double des Internationaux de France à Roland-Garros en 1950, 6e mondial en 1948, 3e en 1949.

Pär Zetterberg (football, Suède)

Bien qu’il soit diabétique insulinodépendant (type 1) depuis son adolescence, il réussit à s’imposer au plus haut niveau sur la scène sportive durant 18 ans. Il a été sélectionné 30 fois en équipe nationale suédoise. Il a remporté six titres de champion de Belgique et trois de Grèce, ainsi que deux « Soulier d’Or » en 1993 et 1997. A cinq mois de ses 36 ans, il mettait fin à sa carrière au sommet de son art, le vendredi 25 mai 2006, en remportant son sixième titre de Champion de Belgique.


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9 MESSAGES
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Forum

  • Diabète : des cyclistes qui se sucrent
    le lundi 29 décembre 2008 à 13:10, Alain Cognitault a dit :

    L’equivalent cycliste de "dans la foulee" ne serait-il pas "dans la roue" ?

    La deficience insulinemique ne pose evidemment pas probleme lors de l’effort, par contre elle est clairement detrimentale lors de la periode de recuperation et en particulier pour la reconstitution des reserves glycogeniques. Phase fondamentale pour un cyliste participant au TdF.

    La pratique d’un sport d’endurance est indubitablement benefique a tous les diabetiques qu’ils soient de Type 1 ou 2, mais elle l’est plus encore en prevention des desordres metaboliques.

    Rien ne vaut le "ramonage" regulier des mitochondries et en particulier lors d’efforts de longue duree lorsque les corps cetoniques s’elevent.

    Ceci les gourmandises de fin d’annee sont a deguster avec moderation… :-)

  • Diabète : des cyclistes qui se sucrent
    le lundi 22 décembre 2008 à 17:19, François Legarre a dit :
    Outre les quelques athlètes du Team Type1 qui, il faut bien le dire ont un niveau plutôt modeste, il est un autre coureur diabétique, professionnel dans une équipe du ProTour, la D1 du cyclisme. Il s’agit de Javier Mejias Leal. Il est espagnol, âgé de 25 ans, et court chez Saunier Duval depuis 2006. Il compte une victoire à son palmarès.
    • Diabète : des cyclistes qui se sucrent
      le mardi 23 décembre 2008 à 07:38, docteur de Mondenard a dit :
      Merci pour l’info que j’ignorais. Bonnes fêtes - Dr JPDM
  • Diabète : des cyclistes qui se sucrent
    le lundi 22 décembre 2008 à 16:26, charles a dit :
    bravo pour votre article fort BIEN documente . le DID que je suis court de ce pas m acheter mon velo !
  • Diabète : des cyclistes qui se sucrent
    le lundi 22 décembre 2008 à 10:32, iris a dit :

    Bonjour,

    vous évoquez, dans l’article sur le diabète, un nouveau type d’appareil de mesure automatique de la glycémie

    pourriez-vous me donner quelques précisions supplémentaires (principe, produits commercialisés…) ?

    en vous remerciant

  • Diabète : des cyclistes qui se sucrent
    le lundi 22 décembre 2008 à 10:07, DonMarlon a dit :
    Un grand merci pour votre papier, qui ne recèle pas -trop- d’erreurs. Tout au plus pourriez-vous ajouter que lorsque l’organisme "brûle" les graisses pour fonctionner, il rejette de l’acétone, dont de trop grandes proportions dans le sang finissent par provoquer son empoisonnement ! Père d’une petite fille diabétique (Type I), ma puce ne s’est jamais mieux portée qu’avec la pratique intensive du sport : 2 heures par jour, de 6 à 7 jours par semaine. Elle en est à la natation, au patin et à l’aîkido en plus du sport à l’école. Peut-être devrais-je la mettre au vélo.. ?
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