Après le déni d’Aznar et de Laporte, il devient urgent de se situer.
6 octobre 2008 à 14h11L’heure est venue de la grande démarque. Oui ou non, êtes-vous le père de l’enfant de Rachida ? Voilà la question. Aznar, le petit cireur des bottes de Franco a été le premier priapique défaillant. Se déclarant, en dépit de baisers échangés, non impliqué dans le dossier de cette fille-mère. Puis vint le tour de Bernard Laporte. L’éblouissant secrétaire d’Etat, vient de se coller sur la liste des ni coupables, ni responsables. Et Rachida ne chantera donc pas : « je t’attendrai devant Laporte du garage ».
Je pense donc, qu’en ce moment de crise, il y a une saine et violente urgence à se positionner (pour écrire comme parle Laurence Parisot). Moi aussi, en dépit du fait que je sois un allumeur de vraie berbère (merci Blondin), je ne suis pas le père de l’enfant de Rachida. Je pense qu’en cette heure tragique pour l’Occident, se situer (Pirandello), est salutaire. J’ouvre donc ce Blog a tous ceux qui ne sont pas le père de l’enfant de Rachida (mais l’heureux papa peut aussi nous écrire). Allez-y, l’espace est à vous, à l’Association Française des Pas-pères (AFPP), qui se situe àl’opposé de l’Association Française des des Mammaires (AFM) :