Voilà, j’ai réussi. Bakchich n’y croyait pas mais je suis parvenu à vous envoyer un premier vidéoblog. Frais monté, sous la moustiquaire. J’y ai passé la nuit à vous raconter mes premiers pas à Bamako et la dure vie de français dans un des pays les plus pauvres du Monde.
Un an que je n’y avais pas mis les pieds à Bamako : eh bien ça fait quand même grave plaisir de revoir Saloum, le poète-juriste de l’ENA Malienne, et la famille Coulibaly, avec Tonton Youssouf, mon oncle ingénieur retraité, le spécialiste des criquets, des serpents, de tout ce qui bouge et qui n’est pas humain.
Remarquez, non, il y a aussi Transrail qui bouge et qui n’est pas humain, la société qui (di)gère le chemin de fer. Et ça aussi j’ai plaisir à retourner l’étudier, comprendre comment mon beau pays de naissance, participe activement à la lutte contre les pauvres !
Si mon expérience de vidéoblog vous plaît, c’est pas la peine de laisser un commentaire. Par contre, si vous détestez, je vous en prie, lâchez-vous, c’est fait pour ça !
Rousty, ambassadeur de lui-même.
PS : puisque tout ceci n’est qu’une vague expérience, je me permets de vous livrer le pilote de Ca sent le Rousty en Afrique de l’Ouest, tellement raté qu’aucune chaîne de télé n’en a voulu, même pas Direct 8, de Bolloré.
Mais promis je m’appliquerai, à l’avenir, car je sais que je pourrais passer des feuilleton chez Monsieur Vincent parce que les syndicalistes de la SDV à Dakar, m’ont dit qu’on leur avait parlé de passer à la télé, et que leur patron pourrait acheter mon film. Ca serait super. "Ca sent le Rousty" sur Direct 8. Faut que je lance une pétition.
Assez écrit, une image vaut mille maux paraît-il, alors bon dégustage brave lecteur égaré en bas de page :