Salut, j’ai été abonné à Bakchich dans les premiers temps et alors que c’était encore un "pure player" du web prometteur.
La capitalisation à apporté du professionnalisme et des scoops mais quelque chose c’est rapidement cassé. Quoi ? Je ne sais pas vraiment. Les formats des articles, l’animation du site, peut-être. Une sorte de reformatage en presse plus classique.
La micro-bulle de la presse Internet fait penser à une fuite désespérée et désordonnée face à une épidémie zombie : Y’a pas de modèle mais on y va. Et on vous comprend : c’est ça où finir par bosser pour Le Monde, Libération ou L’Equipe. Ou pire, dans la presse magazine.
Merci et courage, cette expérience n’est pas perdue. Et puis le site et le titre restent un actif, sait on jamais. Mais pas pour salarier 15 personnes.
C’était il y a deux ans que j’ai eu la chance de découvrir votre site ; par hasard, durant la campagne des jeunes pop (jeunes UMP). J’étais alors proche du parti présidentiel. J’avais témoigné à deux reprises dans une tribune, comme dans un papier. Depuis, j’étais resté fidèle et achetais chaque semaine votre journal… et pourtant je suis de droite.
Merci pour tout
Eh, mais à vous lire, on croirait vraiment que ça vous en touche une sans faire bouger l’autre.. Vous êtes peut être tous sous le coup de la fatigue, j’ose espérer. Mais vous pouvez pas plier comme ça ! Vous, le nouveau format de presse indépendante, diversifiée, sympa à lire, le genre qui réconcilie avec le papier, qu’on feuillette avec intérêt et plaisir.. Mais vous savez pas vous vendre ! Sorti du cercle des internautes avertis, en kiosque on voit à peine votre publication. Une fois qu’on a par chance mis la main dessus, par contre, le client est ferré, pour de bon. Si seulement vous aviez mis un tout p’tit peu de blé en réclame, vous les trouviez facilement vos 10 000 lecteurs supplémentaires.
Sans déconner, faites quelque chose !