J´ai versé ma larmichette et meme si vous dites que ce n´est pas le pouvoir en place qui vous a détruit pour ma part je reste profondément convaincu qu´une aide de l´état pour aider votre journal tant remplis de bonne humeur n´aurai pas été de trop…En tout cas je tiens a vous adresser un grand BRAVO pour votre bonne humeur, votre impartialité et surtout le souffle de liberté que vous avez apporté a ma vie !!! Vous etes les William Wllace de la presse !!!Et comme il le disait si bien sur le champs de bataille a Stirling :
"Oui… Battez vous et vous mourrez peut être… Fuyez et vous vivrez… Quelques temps du moins… Et un jour sur vos lits de mort, bien des années auront passé… peut être regretterez vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Stirling… pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis car ils peuvent nous ôter la vie… mais ils ne nous ôteront jamais… nôtre LIBERTE !!!"
C’est bien dommage. La lecture de Bakchich fut toujours un plaisir.
Il y avait certes une myriade de désagréments dans cette lecture. Des énervements provoqués, des désaccords profonds, des tristesses parfois de sentir de telles incompréhensions. Je ne partageais pas la parano du complot, le populisme de classe, l’anticléricalisme primaire, le manichéisme facile.
Mais il y avait de l’info ; il y avait du style ; il y avait de l’idée. L’idée n’a pas besoin d’être partagée, elle se suffit à elle-même et fait grandir.
Bakchich n’a pas trouvé son public et n’a pas su suffisamment convaincre. Mais l’équipe réussira un autre pari.
La nuit dure longtemps mais le soleil finit toujours par arriver, dit le proverbe africain.