"Je ne veux pas mettre la télévision à ma botte", promet le chef de l’État français.
Naturellement : ça fait rire Jean-Pierre Elkabbach.
Mais le chef de l’État français ne se laisse pas distraire par les peu discrètes poufferies d’un salarié de son brother, et proclame aussi : "Je ne veux évidemment pas contrôler la presse".
(Juré, craché, ptoui, ptoui - oh, pardon, m’sieur Carolis, j’vous avais pas vu.)
Et si le chef de l’État français le dit, ça doit forcément être vrai, pour la simple et bonne raison qu’il s’est, depuis son élection, tenu à tous les engagements qu’il avait pris.
Pas question que j’aille "serrer la main de Poutine".
Avait-il par exemple annoncé (crânement).
Promesse tenue.
C’est beau, un homme de parole.