Djibouti, après l’affaire Borrel, l’affaire Boreh
le samedi 29 août 2009 à 07:00
Reconaître que nul na rien sans rien, c’est vrai que des djiboutiens souffrent, dans son voisinage, d’autre crèvent de fin ou de soife. corne d’afrique et le non fort, d’ou l’importance d’y croire à l’avenir proche, aidon nos voisin s’y le moyen le permet, c’est notre fierté, laisser le mal sein de côté et aidont nos jeune à progrésser, pour Boreh je le souhaite bon retour à la maison c’est un géni, ramadan karim.