(réservations de train ou d'avion, météo,
information sur les spectacles, VPC, services bancaires...) afin de
créer une masse critique d'offre de services (sans bien entendu fermer
les services Minitel correspondants qui seront encore pendant des années
seuls accessibles pour des personnes n'ayant pas accès à un micro
ordinateur)
Cf sur ce sujet les propositions du rapport MERLIN
www.telecom.gouv.fr/francais/activ/techno/rap_merlin0499.htm
Aujourd'hui 95 % des éditeurs minitel ont déjà
migré au moins partiellement sur Internet (contre 50 % il y a un an).
La situation actuelle, dans laquelle la passation d'une commande à un
vépéciste, ou même la consultation de la liste d'attente
à un concours public génère une rémunération
pour le serveur est aussi anormale que confortable :
Internet devrait permettre de remettre les pendules à l'heure
(après qu'un serveur suisse ait mis dès 1995 les horaires de
la SNCF gratuitement sur Internet notre entreprise nationale vient de franchir
le pas avec un site considéré comme très réussi
http://wwwsncf.fr/voy/index.htm.. et qui depuis 1998 n'oblige enfin plus le
client à se faire facturer par le kiosque la réservation de son
billet sur le 36 15)
Les pouvoirs publics se doivent de donner l'exemple pour ce qui les concerne
en poursuivant l'action entreprise en 1998 dans le cadre du PAGSI : en
particulier tous les résultats des concours des écoles publiques
devraient être accessibles gratuitement par internet, en 1999 ce n'est
toujours pas le cas.
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