Juif et démocrate, il ne voulait pas la guerre (Voltaire) |
Chienne de guerre |
(source anonyme)
http://www.tarpley.net/bushb.htm (les chapitres 2 (lien avec Thyssen), 5 -référence à la filiation avec Henri III d'Angleterre), 24 et 25 sont intéressants. Il manque la version relative à l'accession au pouvoir de Junior.
http://www.moveon.org/moveonbulletin/bulletin1.html (à noter qu'Halliburton est déjà bénéficiaire de l'effort de guerre, et va l'être encore davantage, avec les 75B$ requis du Congrès...à ces montants, on peut acheter quelques consciences...)
[Grandes manoeuvres et arrière-pensées] :
La guerre entre les États-Unis et l'Irak aura-t-elle lieu ? Au-delà de cette hypothétique offensive, le marché pétrolier mondial s'interroge sur les objectifs réels de Washington au Moyen-Orient. (L'intelligent)
De même que CNN a bâti sa réputation par sa couverture en direct de la Guerre du Golfe depuis la capitale irakienne, les blogues (de l'anglais blog, contraction de Web log), ou jouebs (pour "journal sur le web"), pourraient s'avérer des outils utiles en cas de nouvelle intervention militaire contre Bagdad.
Ils représenteraient une alternative à une communication institutionnelle généralement opacifiée en temps de guerre, offrant une diversité d'informations et d'opinions.
"Le principal rôle des blogues, si on en juge par ce qui s'est passé pendant la guerre en Afghanistan, est de rassembler des éléments qui ne sont pas apparus dans les médias grand public et de revenir sur des analyses idiotes de la situation en montrant en quoi elles sont fausses", explique Glenn Reynolds, dont le blogue (http://www.instapundit.com) est l'un des plus reconnus.
Les créateurs de blogues ne font généralement pas mystère de leurs tendances idéologiques. Libres aux internautes d'accorder leur confiance à l'un ou à l'autre. "C'est avant tout basé sur la réputation du blogue", estime Reynolds.
Pour certains experts des médias, le scepticisme reste de mise. Ils doutent notamment de la capacité des rédacteurs de jouebs à accéder à des informations inédites ou à se placer en première ligne médiatique.
"Bien sûr, les militaires vont dire (...) vous pourriez être n'importe qui -- il se peut même que vous soyez d'al Qaïda pour autant que nous sachions -- et vos promesses de vous soumettre à nos règles ne valent pas cher", estime pour sa part Jane Kirtley, professeur de déontologie des médias et de droit à l'université du Minnesota. "Le rôle des blogues va probablement être davantage de rapporter ce que nous appelons des informations de seconde main", souligne Reynolds.
L'EXEMPLE DE L'AFGHANISTAN
Dans certains cas, des soldats ont créé leurs propres sites pour partager des informations avec leurs amis et leur famille, toujours dans la limite de ce qu'ils pouvaient révéler.
Un blogue créé par des soldats en Afghanistan, initialement accessible à www.172med.org, a dû changer d'adresse après avoir été submergé par les lecteurs dans le monde entier.
Maintenant accessible à logwarrior.com (http://www.logwarrior.com), le site raconte la vie quotidienne des soldats, comme par exemple comment s'est déroulée leur soirée de Thanksgiving et leurs expéditions pour faire du shopping dans les villes voisines. L'armée américaine dispose elle aussi de son propre joueb sur ses opérations en Afghanistan (http://www.americasarmy.com/archives/afghanistan_weblog/bomb.php). Ce site, qui fait partie intégrante de sa stratégie de communication afin d'attirer de nouvelles recrues, a même été agrémenté d'un jeu vidéo. Si les rédacteurs de blogues compilent les informations trouvées sur le web sur un sujet donné, offrant un ensemble de liens hypertextes à leurs visiteurs, ils profitent également des informations données par les internautes. "Au début du mois de novembre, j'ai reçu du courrier électronique de gens sur le front (en Afghanistan)", explique Glenn Reynolds. Si une nouvelle opération était déclenchée en Irak, "les blogueurs recevront probablement beaucoup d'e-mails". Le cas échéant cependant, il ne faut pas s'attendre à ce que les auteurs de jouebs soient parachutés sur Bagdad. D'autant plus qu'il y en a déjà un sur place, qui publie des descriptions de la vie quotidienne en Irak à l'adresse Where_Is_Raed? (http://where_is_raed.blogspot.com/) [http://cvresumewritingservices.org/ resume writing]. Critiquant le dossier britannique sur la violation des droits de l'Homme par le gouvernement irakien publié cette semaine, l'auteur du blogue écrit: "Merci de votre vif intérêt pour la situation des droits de l'Homme dans mon pays, merci d'avoir été aveugles pendant 30 ans (....) merci de ne pas vous être préoccupés du développement d'armes chimiques par un timbré alors que vous saviez qu'il était timbré."
[AdmiNet-Iraq] Un coup d'oeil à la liste permet de constater que la France, la Russie et la Chine avaient au moins une raison économique de s'opposer à l'option militaire. Peut-être le manque de crédibilité de la part francais auprès des Américains est la cause du crise actuel à l'ONU?
Compagnie Champs Réserves Milliards de Barils Pay France TotaFina Elf Majnoon 15 à 30 TotaFina Elf Bin Umr 6 Pay Russie RussiaLUKoil-ZarubejNeft- MashinolmportQurna West, Phase 2 15 Mashinolmport- SalvNeft Suba-Luhais 2.2 StroyExport Khurmala 1 ZarubezhNeft Qurna West, Phase 1 0.4 BashNeft Qurna West Phase 6 0.2 TatNeft Rumala Mishrif-South 0.4 Mashinolmport Rumala Mishrif-North 0.4 StroyExport Hemrin 0.2 Pay Chine CNPC Halfaya 2.5 à 4.5 CNPC Al Ahdab 0.2 Paty Inde ONGC & Reliance Oil Tuba 0.5 à 1.5 ONGC Bloc 8 du désert de L'Ouest Inconnues Pay Canada Nexen Ratawi 1 à 3 Bow Valley Khurmala 1 Bow Valley Hemrin 0.2D'après "La Presse" de Montréal, samedi le 22 mars, 2003 La liste n'énumère ques les plus importantes compagnies présentes en Irak. En tout, 29 compagnies de 22 pays avaient des intérêts divers.