Ils ne
peuvent gagner leur vie que si les succès permettent de financer les
inévitables échecs et de rémunérer convenablement
le capital engagé par les actionnaires : on peut accepter de perdre 100
(en fait seulement 50 dans bien des cas grâce à l'intervention de
la
SOFARIS
qui apporte une garantie à hauteur de 50% des capitaux
engagés) quand l'entreprise disparaît quand on sait que l'on
gagnera 100 ... ou 10 000 quand elle réussira son aventure
Ce métier est celui des investisseurs et pour y réussir, les
qualités requises exigent bien davantage une expérience
professionnelle industrielle que purement financière comme le montre
bien la pratique américaine.
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