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Mercredi 26 Octobre 2005

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26.10.05 - (JIR) Air Horizon paye comptant

26.10.05 - ( le JIR) Grippe aviaire : un homme placé en isolement à Saint-Denis


25.10.05 - Objectif 600 000 touristes en 2010

25.10.05 - Premier vol d’Air Horizons

25.10.05 - Sécurité routière : quand les enfants s'affichent

25.10.05 - Les patrons Réunionnais unis face au gouvernement.

26.10.05 - (Libération) Un projet pour renforcer l'arsenal antiterroriste

26.10.05 - (AFP) Télé-Grenoble : conceptuelle et pas chère


25.10.05 - Matignon veut border la privatisation partielle à risques d'EDF

25.10.05 - Concert de soutien à Ingrid Betancourt: mis en cause, Douste-Blazy assure que "personne n'oublie personne"

26.10.05 - (AFP) Procès Al-Tawhid: prison ferme pour quatre hommes liés à Zarqaoui

26.10.05 - (AFP) Les Irakiens ont une Constitution

26.10.05 - (AFP) Al-Qaïda en Irak revendique un enlèvement à l'ambassade du Maroc à Bagdad


25.10.05 - Une quatrième victime humaine de la grippe aviaire en Indonésie.

25.10.05 - La Floride touchée par Wilma

25.10.05 - La Chine détecte un nouveau foyer de grippe aviaire.

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25.10.05 - Concert de soutien à Ingrid Betancourt: mis en cause, Douste-Blazy assure que "personne n'oublie personne"


douste.jpg Un concert de soutien à l'otage franco-colombienne Ingrid Betancourt a eu lieu lundi soir à Paris avec la participation de nombreux artistes et en présence du ministre français des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, qui a été mis indirectement en cause par l'un des participants.

Le spectacle a en effet été l'occasion d'évoquer d'autres disparus, certains connus (les journalistes Guy-André Kieffer en Côte d'Ivoire, Fred Nérac en Irak), d'autres beaucoup moins (Marc Beltra, jeune Français disparu en Colombie, Aida Duvaltier). Des proches se sont exprimés dont un ami de Marc Beltra qui a évoqué lors d'un monologue dit sur le ton d'une colère froide le silence entourant ceux qui n'ont pas de notoriété. Il a mis en cause en particulier la passivité des autorités françaises.

Philippe Douste-Blazy est alors remonté sur la scène pour rendre hommage "aux dizaines, aux centaines de fonctionnaires du Quai d'Orsay qui travaillent jour et nuit, parfois au risque de leur vie. Personne n'oublie personne!", a martelé le ministre, en évoquant au passage "ceux qui vont chercher les otages au moment où personne ne le sait".