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Mardi 18 Juillet 2006

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18.07.06 - Tour de France à la voile: enfin, une victoire pour l'équipage réunionnais !

18.07.06 - Le musée Stella Matutina fête ses 15 ans : trois jours d'animations au programme ce week-end


17.07.06 -  Un Cd pour les femmes entrepreneurs

17.07.06 - Enquêtes publiques à Sainte-Marie : Un centre animalier au Grand-Prado ?

18.07.06 - La vidéo de plus en plus demandée sur Internet

18.07.06 - Le bulletin de salaire électronique est en chemin

18.07.06 -  A la Fnac, les commandes en ligne se retirent aussi en magasin


17.07.06 - La France, toujours championne du monde... du tourisme !

17.07.06 - Les Alpilles bientôt classées Parc Naturel Régional

18.07.06 - Nouveau tsunami en Indonésie, pas d'alerte à la Réunion

18.07.06 - Unesco : de nouveaux sites inscrits au patrimoine mondial, établi en vue de préserver des richesses culturelles et naturelles exceptionnelles

18.07.06 - Pékin rase son centre historique pour les J.O.


17.07.06 - Greenpeace s’inquiète pour le littoral espagnol trop bétoné

17.07.06 - Irlande : Ryanair pratique-t-elle des taxes abusives ?

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17.07.06 - Enquêtes publiques à Sainte-Marie : Un centre animalier au Grand-Prado ?


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La CINOR s’apprête à créer un centre animalier au Grand-Prado, à Sainte Marie. Le lancement des travaux, précédé par la procédure d’enquêtes publiques (10 juillet au 10 août 2O06), est programmé courant 2007 pour une livraison attendue en 2008.


L’importance du nombre d’animaux errants crée des problèmes de différents ordres : risques d’agression physique, d’accident de la circulation, dangers sanitaires, nuisances environnementales, impact négatif en termes d’image.
La capacité d’accueil de ce centre animalier est fixée à 80 chiens par les services vétérinaires, soit à peu près le double du site actuel situé à la Jamaïque (49 chiens).
Le territoire de la Cinor se doit de disposer d’une fourrière intercommunale d’une capacité adaptée aux besoins des trois communes membres.
Elle permettra l’accueil des animaux errants capturés, afin de lutter contre l’insécurité, les bruits et la dégradation des sites, engendrée par les meutes. En outre, elle contribuera à la mise en œuvre de la politique d’adoption du gestionnaire de la partie refuge, après tatouage et stérilisation des animaux.


Source CINOR