Dans "Le Point" de ce matin, aux pages dévolues à la "culture", un journaliste maison, Guillaume Chérel, fait la chronique d’un roman qui vient de paraître chez Michel Lafon, et qui est le : "Premier volet d’une saga ambitieuse, en cinq tomes, qui aura pour cadre la guerre de Sécession, le Chicago du krach boursier de 1929 et le débarquement américain de 1944 en Normandie".
Guillaume Chérel estime que si, "enfant(s)", nous avons "rêvé avec Mark Twain".
Que si en outre nous avons "découvert Steinbeck, London, plus tard…"
Que si encore nous "appréci(ons) les romans historiques en général, et ceux des grands espaces en particulier".
Que si enfin nous "croy(ons) toujours aux frontières sans limites".
Alors nous "aimer(ons)" très fort "cette saga" - dont Guillaume Chérel a quant à lui adoré le tome un.
Qui l’a signé ?
Qui est ce romancier qui nous arrive, leur égal, après London, Steinbeck et Twain ?
Peu importe !
"Oublions un peu le nom de l’auteur", suggère Guillaume Chérel.
Et choisissons plutôt de nous laisser emporter par un récit où "on est pris par le destin tragique (du) héros (…), plongé dans les méandres d’une Amérique encore sauvage".
(Hhhhhh…)
C’est tellement "passionnant", qu’à la fin on s’écrie, tout comme fait Guillaume Chérel : "Vivement la suite !"
Et à part ça, l’auteur ?
C’est "Jean-Christophe" Giesbert, "directeur de "La Dépêche du Midi"" et "coauteur avec son frère Franz-Olivier des "Héros du 6 juin" (Michel Lafon, 2006), dédié à leur père, GI qui a débarqué à Omaha Beach".
Franz-Olivier Giesbert ?
Mais n’est-ce pas le big boss du "Point" ?
Oui-da, c’est lui, ami(e).