Dans le cadre des actions d'assistance des autorités de sûreté nucléaire des pays de l'Est, il s'est rendu en 1995 deux fois à Prague (République Tchèque) dans le cadre de l'accord bilatéral de coopération entre la DSIN (Direction de la sûreté des installations nucléaires des ministères de l'Industrie et de l'Environnement) et l'autorité de sûreté tchèque (missions de 3 et 2 jours).

A la demande de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA), il s'est rendu à Bratislava (Slovaquie) pour un bilan des actions de coopération internationale intéressant ce pays et à Budapest (Hongrie) pour un séminaire consacré aux relations entre autorité de sûreté et exploitants (missions d'une semaine chacune). Enfin il a représenté la France à Vienne (Autriche) au siège de l'AIEA dans le cadre de l'examen par les autorités des pays membres du budget de l'Agence consacré à la promotion de la sûreté nucléaire (mission d'une semaine qui a nécessité une concertation préalable importante avec toutes les parties concernées en France).

Dans le cadre de l'examen par les autorités française et allemande de la sûreté du projet de réacteur EPR (projet mené conjointement par FRAMATOME et SIEMENS), Jean Scherrer, seul membre non-allemand de la RSK (Reactor-Sicherheitskommission), commission de sûreté nucléaire placée auprès du ministre fédéral allemand de l'Environnement, s'est rendu en 1995 dix fois à Bonn pour participer aux réunions de cette commission. De plus il a participé à deux réunions communes entre la RSK et le groupe d'experts français (GPR) chargé des réacteurs nucléaires (une réunion en Allemagne et une en France).