Ces
incubateurs privés ocillent entre une vocation de société
de conseil (vivant d'honoraires) et celle de capital risqueur (vivant des plues
values)
Aussi, sur le modèle Américain (plus de 800 incubateurs, les
leaders étant ICG (Internet Capital Group) et CMGI, qui avaient fini par
devenir des holding de dot.com avant d'être eux aussi emportés par
la tourmente (CMGI annoncé une perte de 2G$ en 200), se sont
développés des incubateurs privés apportant ces
services en échange d'une part du capital et ceux-ci se sont davantage
développé dans des vieux quartiers commerciaux en reconversion
que près des Campus comme le bas de Manhattan, Clerkenwell à
Londre, zone d'entrepots près du marché aux viandes
En France c'est le quartier du sentier qui s'est imposé :il
bénéficie en outre d'une infrastructure de
télécommunication exceptionnelle dans notre pays installée
là pour les besoins de la Bourse (avec Cegetel, Colt et Siris) et du
plus gros noeud d'interconnection Français avec Telehouse d'où
l'on peut diectement tirer un câble
Ces incubateurs ont bien entendu été portés par la vague
des dot.com et ont beaucoup souffert en 2001-2002
Evariste
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(Last update : Fri, 9 Feb 2007) |