L'actu en bref

"L'avenir du très haut débit français passe par une inévitable mutualisation des investissements", a affirmé Paul Champsaur, président de l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep), lors d'un colloque sur l'avenir de l'audiovisuel organisé par le quotidien La Tribune et NPA Conseil. Tous les acteurs du secteur des télécommunications sont désormais convaincus de l'importance de la mise en place de réseaux à très haut débit, mais les colossaux investissements nécessaires freinent leurs ardeurs.
Il est en effet  nécessaire d'envisager dès maintenant la constitution d'un réseau fibre optique sur l'ensemble du territoire.
Seul problème : les investissements se montent à plusieurs dizaines de milliards d'euros, sur plus de dix ans. « Pour permettre aux différents acteurs d'entrer sur ce marché et éviter que les investissements précités ne constituent une barrière insurmontable à ce déploiement, la mutualisation des infrastructures de génie civil et de câblage des immeubles est amenée à jouer un rôle fondamental ».
Parmi les nouveaux usages qui permettront de monétiser le très haut débit et de compenser l'érosion des revenus générés par la voix, la diffusion de contenus jouera selon l'Arcep un rôle prépondérant.

La cérémonie nationale du 11 novembre, sous l'Arc de triomphe, s'est déroulée hier en présence du président Jacques Chirac et de l'un des quatre derniers survivants de la Première Guerre mondiale, René Riffaud.
Elle intervient au lendemain de la mort du doyen des "poilus" de la Grande Guerre, Maurice Floquet, qui aurait fêté ses 112 ans le 25 décembre.
Depuis 2003, aucun poilu n'avait participé aux cérémonies de commémoration de l'Arc de Triomphe, à Paris. Pour ce 88e anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, le chef de l'Etat a déposé, conformément à la tradition, une gerbe sur le tombeau du soldat inconnu et ravivé la flamme du souvenir.
Malgré la pluie et le froid, René Riffaud, 107 ans, installé dans un fauteuil roulant, a assisté à toute la cérémonie. Il était entouré de ses proches et notamment de son arrière-petite-fille.

"L'avenir du très haut débit français passe par une inévitable mutualisation des investissements", a affirmé Paul Champsaur, président de l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep), lors d'un colloque sur l'avenir de l'audiovisuel organisé par le quotidien La Tribune et NPA Conseil. Tous les acteurs du secteur des télécommunications sont désormais convaincus de l'importance de la mise en place de réseaux à très haut débit, mais les colossaux investissements nécessaires freinent leurs ardeurs.
Il est en effet  nécessaire d'envisager dès maintenant la constitution d'un réseau fibre optique sur l'ensemble du territoire.
Seul problème : les investissements se montent à plusieurs dizaines de milliards d'euros, sur plus de dix ans. « Pour permettre aux différents acteurs d'entrer sur ce marché et éviter que les investissements précités ne constituent une barrière insurmontable à ce déploiement, la mutualisation des infrastructures de génie civil et de câblage des immeubles est amenée à jouer un rôle fondamental ».
Parmi les nouveaux usages qui permettront de monétiser le très haut débit et de compenser l'érosion des revenus générés par la voix, la diffusion de contenus jouera selon l'Arcep un rôle prépondérant.