L’Italienne, naturalisée Française
Juste une question, elle avait la nationalité avant son mariage ou elle a été naturalisé suite a son mariage ?
pour savoir si la aussi, il existe deux poids ,deux mesures dans l’acquisition de la nationalité française par le mariage, le tout venant devant attendre un délai de 2 ans si mes souvenirs sont bons
et subsidiaire personne n’a enquêté pour savoir si ce mariage si rapide n’était pas un mariage blanc ? comme cela se passe dans la France de Sarkozy !
Carla Bruni a fait l’objet d’une procédure de naturalisation accélérée (celle-ci ne peut avoir lieu avant 4 ans usuellement, pour éviter les mariages blancs)
Mais, selon que tu seras riche et puissant etc…
Comme si de rien n’était. Le magasin de disques Gibert Joseph de Poitiers a boudé la sortie du disque de la première dame de France. Pendant que ses concurrents l’ont placé en « tête de gondole ».
S’ils avaient pu le placer au fond du rayon des musiques traditionnelles d’Ouzbékistan, ils l’auraient peut-être fait. Hier, alors que l’hyper-médiatisé troisième album de Carla Bruni sortait dans les bacs, les disquaires du magasin Gibert Joseph ont décidé de ne pas succomber à la tentation marketing. /« On a commandé cinq albums, le minimum/, dit Jérôme en souriant. /Il est évident que cette sortie est faussée par son statut. Et puis ce n’est pas du tout le genre d’artistes qu’on a envie de défendre. Notre truc, c’est plutôt les artistes indés. Bruni, on la traite comme Madonna. On préfère mettre Blondie en avant ! » /A 15 h, aucun album de Madame Sarkozy n’avait encore été acheté, ni même demandé. /« Dans le registre folk, en ce moment, il y a des choses bien meilleures à écouter,/ conseille le disquaire./ Comme Alela Diane ou Cocoon, par exemple. »/
“ Un disque qui mérite d’être en tête de gondole ”
A la Fnac, difficile de rater l’album. Il trône en plusieurs dizaines d’exemplaires sur les présentoirs disposés à l’entrée, signalés par de larges visuels publicitaires. /« Carla Bruni est pour nous une sortie normale, qui suscite une forte attente depuis son premier album »/, souligne Denis Callet, directeur de l’établissement. En début d’après-midi, « Comme Si de Rien N’Etait » ne remportait pas un franc succès. Une quinzaine de disques avait été écoulés. A l’espace culturel de Leclerc, seuls deux exemplaires avaient trouvé acquéreurs à 17 h. Là aussi, la direction affirme qu’il s’agit d’une sortie /« normale, qui mérite d’être placée en tête de gondole »/. Au final, à Poitiers, seule une vingtaine d’albums ont passé la nuit hors des bacs.
Mario RAULIN NR du Centre Ouest