L’affaire d’OUTREAU a été qualifié de désastre judiciaire historique par quelques médias.
On constate en effet qu’au final la sanction elle aussi est historique ????
Que doit donc faire le si, et toujours, compétent magistrat comme énormités pour « mériter » la révocation ?
J’imagine bien qu’un jeune magistrat un peu bouillant et énergique, si dans un moment de colère et d’exaspération traite un président de cour d’appel de « pauvre con » la sanction risque d’être plus élevée que celle « subit » par sieur burgaud.
Cela me rappelle lors de ma formation juridique, le premier cours de droit civil de première année : Le droit n’est ni la morale, ni la bienséance, ni la religion, mais le juriste, le magistrat est influencé par ces éléments.
Je ne peux que constater que la première partie de cet enseignement est bien d’actualité, mais les magistrats d’aujourd’hui ne semblent guère influencés par le vie sociétale dans laquelle ils « évoluent »
Tout cela est minable, et le résultat c’est que le « pécus vulgarus » prie pour ne pas avoir affaire à cette justice « intelligente et éclairée ». Car on constate que cette « noble institution » à bien lancer un magnifique concours à la sottise.
Pauvre futur justiciable qui par malheur croisera peut être l’inénarrable burgaud comme juge d’instruction ou un de ses éclairés collègues…