Que le monde est simple… Bakchich nous a pourtant habitué à plus de finesse.
Les intérêts ne sont que d’un côté, bien, évidemment… Il n’y a que les compagnies pétrolières (qui financent effectivement des contre-recherches), et en face : RIEN. Pas d’intérêts du côté de la finance verte (Al Gore avec Generation Investment Management ou Goldman Sachs), du nucléaire (allez, un peu de pub : http://www.unmondelibre.org/Martin_France_Rechauffement_nucleaire_061210), des bureaucraties internationales comme la banque mondiale ou le FMI (qui se battent pour gérer ce fabuleux fond vert), mais aussi tout bêtement de ceux dont les fonds de recherche, et donc l’emploi, dépend de la "menace climatique".
Sur le plan épistémologique, quelle magnifique attitude que de rejeter le scepticisme, de fermer le débat scientifique dans une science qui ne sait même pas prendre en compte le rôle des nuages ! (comme si les nuages avaient un impact sur le climat, hein ?). Non : le consensus ! On demande même à une ministre de l’éducation et de la recherche de trancher le débat pour être "bien sûr"… Allez, encore un petit peu de pub : http://www.unmondelibre.org/Martin_consensus_rechauffement_021209
Merci Bakchich de soutenir la police de la pensée. Surtout que le monde se réchauffe à une allure formidable, il n’y a d’ailleurs même plus d’hiver ma bonne dame. Il est urgent d’agir, vite, vite.
Déprimant.
Emmanuel Martin (qui n’est pas financé par les pétroliers pour dire ce qu’il dit).