Info trotoire au propre et au figuré. Pourtant ce ne sont pas les sujets qui manquent…
Il est plus facile d’organiser un happening festif à la sortie d’un restaurant plutôt que par sa plume contribuer aux débats de notre époque. Quelle médiocrité.
Voici un commentaire d’un homme de mauvaise foi :
"Il est plus facile d’organiser un happening festif à la sortie d’un restaurant plutôt que par sa plume contribuer aux débats de notre époque. Quelle médiocrité."
Combien de fois n’ai-je pas lu ce genre de commentaire lâche ? Il ressemble à peu près au faux arguments massues de la droite, du genre : "de toute façon, la gauche ne comprend rien à l’économie".
Eh bien, Monsieur, Madame, il faudra vous y faire : les défenseurs de la justice sociale et de la vérité ont des arguments. Les attaques contre la presse vendue sont légitimes. Il suffit de se renseigner un petit peu, d’ouvrir les yeux, et de se débarrasser de sa mauvaise foi. Mais bon, beaucoup de gens qui ressortent, comme des perroquets, ce genre d’attaques minables sont incurables ; foncièrement individualistes, ils défendront jusqu’à la tombe leur nonosse, la tête toujours plantée dans la boue…
Et oui, nous sommes aussi dans la rue, puisque la plume a rarement suffi, ne suffit pas aujourd’hui, et ne suffira sûrement pas demain. Parce que les médias télévisuels sont plus forts, l’audience de TF1 imbattable, il faut crier la vérité dans la rue, et organiser de "petites actions" de ce genre.
Sauf erreur, j’ai vu aussi passé :
Un représentant de Molex, peut-être le patron ?
Louis Schweitzer, ancien patron de Renault.
Patrick Devedjian, ancien d’Occident.
Denis Olivennes, directeur du Nouvel Observateur, ancien haut fonctionnaire, ancien DG d’Air France, ancien PDG de Numericable, ancien PDG de Canal+ France, ancien PDG la FNAC, etc.
Il y en a même un qui a fait demi-tour en voyant les micros et les caméras.
Ambiance potache donc. On remet ça le 24 novembre avec un picnic !
E.Chain a fait son ours, d’autres l’ont joué hypocrite, à "comprendre au combien les pauvres face aux riches", de belles formules, pour ensuite passer au diner, sans trop d’embarras.
En cadeau bonux, la critique virulente, mais sans condescendance de Pierre Carles, ni opposition, à l’occasion de la sortie de Fin de concession : http://gonzai.com/pierre-carles-fin-de-concession-la-critique
J’ai donc assisté à la projection presse du film, ainsi qu’à l’avant première au Latina. Et j’ai pu confronter les points de vues, suivant Carles depuis pas mal de temps.
Nous avons également manifesté de concert, comme vous le voyez, face au Diner du Siècle à la Concorde. La prochaine fois, mettez vos costumes et prenez de l’âge. On rentrera…