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Khalifa, ce héros romanesque

mardi 23 janvier 2007 par Miguel Valle de la Pampa
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Un mystérieux Amid Lartane a commis un roman noir et librement inspiré de l’affaire Khalifa. Toute ressemblance avec la réalité est bien entendu un produit de votre imagination ! Dans quelques jours, Bakchich publiera les bonnes feuilles mais en attendant, voici la critique.

Le 25 janvier prochain paraîtra en France L’Envol du faucon vert, un « roman noir librement inspiré d’une affaire qui a défrayé la chronique en France en 2002 et 2003, avant de solder par l’un des plus grands scandales financiers de l’Algérie d’aujourd’hui ».

On veut bien sûr parler de l’affaire Khalifa dont la faillite frauduleuse est actuellement jugée en Algérie mais où les principaux acteurs sont en cavale à l’étranger. Sans parler de ceux qui en ont tiré les ficelles et dont on tait le nom.

L’homme qui a commis ce roman est un mystère. Il utilise le pseudo d’Amid Lartane, a été haut fonctionnaire au pays du général Larbi Belkheir et vit maintenant à l’étranger où il travaille dans une organisation internationale. C’est ce qu’on peut lire sur la jaquette du bouquin.

En tout cas, le sieur Lartane a l’air d’en connaître un rayon sur ce qu’il appelle la « ménagerie de la SM » (SM pour Sécurité militaire). Et plus encore sur le « Lion », baptisé Lamine Boutramine dans le roman même si tout le monde peut y reconnaître le général Larbi Belkheir.

Visiblement, on ne lui compte pas non plus fleurette au sujet de Rafik Khalifa (alias Oulmène dans le bouquin), ex-gloire de l’Algérie post-guerre-civile aujourd’hui plus ou moins terré à Londres mais pas vraiment gêné aux entournures par le mandat d’arrêt international qui a été délivré contre lui en 2003.

Ni sur son ascension fulgurante que Lartane raconte dans le menu détail. Si l’envie prenait les juges algériens de savoir comment Khalifa a décroché l’agrément pour sa banque, on ne saurait trop leur conseiller de jeter un oeil attentif au bouquin. C’est certes une fiction mais bon…

Là où le sieur Lartane devient vraiment intéressant, c’est quand il raconte avec une précision d’orfèvre les soirées et les réunions où les saigneurs de l’Algérie des années 90 — ah, cette description de la baraque du Lion ! — montaient leurs coups. On rit aux éclats à la lecture des lignes consacrées à la sainte trouille que le fauve inspire à ses obligés qu’il dirige à coups de phrases sibyllines qui les vitrifient sur place. Sans oublier quelques romances pas vraiment X où l’appétit pour des miettes de pouvoir l’emporte toujours sur les sentiments.

Enfin, Amid Lartane dresse en parallèle le portrait poignant d’un groupe islamiste dans le maquis qui ne tarde pas à se faire manipuler par des tireurs de ficelle de l’ombre et à commettre les atrocités qui caractérisent les longues années de guerre civile. Voilà qui ne manquera d’ailleurs pas de relancer le vieux débat du « qui tue qui » en Algérie. Et si à la fin du livre, vous en redemandez, sachez qu’un second tome est en cours d’écriture.

L’Envol du Faucon vert aux éditions Métailié à partir du 25 janvier.

Voir en ligne : in Bakchich # 18

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15 MESSAGES

Forum

  • Khalifa, ce héros romanesque
    le mercredi 24 janvier 2007 à 11:52, avecmésabôdondaine a dit :
    Relancer l’idée du qui-tue-qui, pourquoi pas ? sauf que l’annonymat sous lequel le livre nous est présenté ne prête pas trop à la clarté et donc un peu moins à conséquences. Que le clan Larbi Belkheir soit derrière l’affaire Khalifa, les groupes Islamiques arùmés, les massacres de civils ou même derrière la loi sur la privatisation des hydrocarbures n’est pas en soi une chose nouvelle et encore moins une révélation d’ailleurs les preuves existent à ce sujet et d’ailleurs tout le monde le sait y compris les parrains Américains du clan Belkheir ; Nezzar et consorts. Cela a été affirmé lors du procès dit "de la sale guerre" intenté en diffamation par le général Nezzar contre le sous lieutenant Souaïdïa à la XIII° chambre du tribunal de grande instance de Paris et qui a abouti en ce que le Général Nezzar ait été débouté de ses prétentions ce qui constitue de fait et pas des moindres, une reconnaissance en bonne et dûe forme par la justive Française de la manipulation du terrorisme Islamiste par le D.R.S. Algérien. De plus, ces mêmes thèses ont été présentées puis étayées par le tribunal permanent des peuples qui a tenu ses assises en Novembre 2005 et qui a abouti à une condamnation de l’Algérie pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité en plus de la présentation du dossier à la commission des droits de l’homme auprès des nations unies. Par son annonymat, ce livre transpire une velléïté de manipulation probablement en vue de diffuser une affirmation sur le lit d’une thèse déjà largement étayée pour faire plus vraisemblable ou peut-être plus crédible qui sait ? O.K. quoique en attendant, wait and see…
    • Khalifa, ce héros romanesque
      le jeudi 25 janvier 2007 à 10:42, TFOUH sur la drs a dit :
      Les agents de la DRS volent, violent ,torturent et tuent leurs propres concitoyens .En attendant de juger les generaux-terros responsables de la destruction de l’algerie je viens de lire sur le journal de la DRS el watan que les ecritures du comptes d’ordre(compte gaspillage des generaux ) de la banque khalifa avoisine les 100 milliards de dinars (14 milliards de dollars) ;ce chiffre ne represente pas la totalite du trou crese par cette banque.il est tres probable que l’ardoise avoisinera les 50 milliards de dollars et dire que l’algerie n’est pas un douar !!
      • Khalifa, ce héros romanesque
        le jeudi 25 janvier 2007 à 12:46
        "L’envol du faucon vert" est un condensé, passionnant, de ce qui s’est passé en Algérie durant et à la faveur de la décenie rouge. N’en déplaise au courant éradicateur et à tous ceux qui ont permis à ce que le carnage se déroule à huis clos parce qu’ils se faisaient l’écran des vrais tueurs de masse en réfutant le fameux "qui tue qui". Tous ces "républicains-patriotes-démocrates-famille qui avance et autres sauveurs de la République" qui ont contribué à étouffer les cris des suppliciés, qui ont justifié la torture, les exécutions extra judiciaires et les exactions de masse au prétexte "qu’on ne fait pas la guerre avec des gants blancs". L’auteur a certainement connu une proximité avec le régime pour nous faire, avec tant clarté, des révélations, non pas seulement sur certains détails sordides autour de la naissance fulgurante de Khalifa, mais surtout sur la nature réelle et le mode même de fonctionnement du système, comme sur les valeurs qui y ont cours. Ce qui ne fait pas forcément de lui un personnage douteux, comme semble le suggérer le commentateur "éradicateur" attardé. L’Algérie des Généraux, pour pourrie qu’elle est, n’en a pas moins recouru à des commis compétents et integres pour faire tourner la machine et leur permettre de faire leur beurre. L’auteur est peut être de ceux là ! Nombreux sont comme lui, qui attendent leur heure pour pouvoir apporter leur témoignage sur l’horrible carnage qui a été perpétré contre les populations civiles. Pour ceux qui n’ont pas compris la symbolique du titre du roman, il faut savoir que le sigle de la campagnie Khalifa airways était une colombe bleue….une colombe.
      • Khalifa, ce héros romanesque
        le jeudi 25 janvier 2007 à 22:59, Djebhaoui a dit :
        Pas de manipulation SVP, 100 milliards de DA = 1,4 milliards de US$ et non pas 14. C’est déjà énorme, pourquoi en rajouter ?
    • Khalifa, ce héros romanesque
      le jeudi 25 janvier 2007 à 13:18, amine a dit :
      Khalifa est connus pour étre la banque des généraux voleurs algériens . Méme Medelci était au courant des magouilles de Khalifa . Personne ne pouvait broncher . C’était la banque des rentiers et magouilleurs algériens qui ont ruinés l’économie algérienne dépendante du seul hydrocarbure . Dans 50 ans , il n’y aura plus de pétrole . Les fénéants devront se retrousser les manches .
      • Khalifa, ce héros romanesque
        le vendredi 2 février 2007 à 01:48, sufyan a dit :

        chers lecteurs de bakchich, et administrateurs,

        Bien que la vérité sur la naissance, comme la mort du "groupe" khalifa risque de n’etre connue que dans de nombreuses années, il est parfaitement indecent y compris quand il s’agit de "fiction", de participer à credibiliser les dangereux fanatiques musulmans qui avaient excommunié tout un peuple. A1lors l’histoire des pauvres petits islamistes manipulés pour commettre des atrocités laissez moi rire, il tuaient, ils tuent et tuerons encore, et les nombreux "droits de l’hommistes" pleins de bonne conscience démocratique n’y changerons rien. Quand au courageux auteur anonyme, incapable de s’assumer, il devrait d’abord nous expliquer pourquoi il a accepté pendant de nombreuses années les salaires, revenus et responsabilites de haut fonctionnaire d’un Etat dont la nature et le regime n’ont guere changé depuis 1962. hier affidé aujourd’hui dénonciateur ! seuls les plus naîfs d’entre vous y croiront ! Salut à tous

        • Khalifa, ce héros romanesque
          le samedi 3 février 2007 à 20:59, L’inconnu a dit :

          Sufyan,

          Apparement tu as lu le livre. Ce qui est indécent littéralement parlant c’est de classer ce livre comme étant un roman noir. Je m’attendais à lire par exemple un autre Yasmina Khadra dans un autre style et découvrir le pendant du commisssaire LIob, un intégriste "machin" et je découvre un récit beaucoup plus qu’un Roman. Aucun personnage en lumière aucune ambiance à vous mettre en haleine, surtout si vous avez vécu en Algérie dans les années 90. Ce roman n’aura pas de suite malheureusment.

          Trois personnages représentent le visage de l’intégrisme dans ce livre. Les deux premiers bien evidement manipulés par le pouvoir faux maquis et autre retournement aprés torture. Et surtout ce qui est surprenant, c’est le personnage de "Abou nihaya". Un ex afghan reconverti écolo, oui écolo j’ai bien lu, et qui sombrera dans le meurtre que parceque poussé à bout le pouvoir. Autrement dit l’ex fonctionnaire a répondu à la question du qui tue qui. C’est le pouvoir et a excusé de facto les criminels.

          le livre est perfide, il aurait pu être un roman "moyen". Pas un roman noir. Il suffit de lire l’intreview de l’auteur. Pas de mélange des genres soit on est écrivain soit on est …… N’est pas James Ellroy celui qui voudra.

          • Khalifa, ce héros romanesque
            le mercredi 7 février 2007 à 06:48, l’imam caché a dit :
            On a compris que vous préférez le soldat Khadra, c’est un choix. C’est pas, à mon sens, un argument suffisant pour nous dissuader de chercher à lire ce sulfureux polar…
            • Khalifa, ce héros romanesque
              le mercredi 7 février 2007 à 14:39, L’inconnu a dit :
              ben non justement. juste une lecture. T’es libre de le lire. on aurait pu faire bcp mieux avec comme sujet l’Algérie et l’affaire khalifa.
              • Khalifa, ce héros romanesque
                le jeudi 8 février 2007 à 14:44, l’imam caché a dit :
                Vas-y l’inconnu, éblouit nous par un polar digne de ce nom. Des copains de Paris qui ont eu la chance de le lire me disent qu’il est super bien écrit ce bouquin et qu’il est pratiquement l’anti-khadra, ceci expliquant peut-être ton commentaire. Mais j’admets qu’en matière de littérature, les appréciations sont libres. Moi je suis plutôt partisan que toutes les "perfidies" s’entrechoquent, cela nous mettra surement sur le début du chemin de la vérité.
                • Khalifa, ce héros romanesque
                  le vendredi 9 février 2007 à 10:41, L’inconnu a dit :

                  Ecoute l’Imam, demande à tes copains de paris de te l’envoyer. Mais il y aucune vérité à decouvrir dans le livre. L’histoire est aussi simple que comique, un groupe a lancé une potiche pour montrer au monde l’Algérie "qui gagne". Un capitalisme à la SUD coréenne. Et montrer en l’espace d’un an que l’Algérie est entré avec succés dans la mondialisation. Personne ne puet croire à cela sauf les gens qui veulent s’enrichir et très vite, c a d bcp d’Algériens. Il fallait entendre le mec parler sur Al jazira, vétérinaire de formation tu ne lui confierais même pas un mouton de l’Aid à vacciner. gage evidemment à leur yeux de ce capitalisme "contrôlé". Par la suite les pratiques courantes sont venus se greffer sur cette affaire. la confusion entre les biens publics et biens privés. Les employés qui volent leur entreprises, téléphone electricité etc etc…. Mais la c’est une banque et tout le monde s’ets servi au passage. Sauf les dindons de la farce travailleurs et retraités de france et d’Algérie. Les Français ont alertés de cette gestion pas trés "catholique" et la fin de récréation fut sifflé. Point. Si les "grands" décideurs étaient à l’origine de cette farce, comme se fait-il que Sonatrach, pourtant pillier de l’économie algérienne n’ait pas mis un seul dollar dans l’affaire ? Mieux "Tonic emballage" et le groupe Rebrab deux privés pour l’un propriète par familier interposé et pour l’auteur bénéficiant de soutien du régime ont ils perdus des sous ?

                  Le livre construit une espèce de complot cher aux lecteurs de tout polar. Il se lit bien. Mais je le dis, ça reste un récit plus ou moins renseigné de l’affaire, où l’auteur mélange pêle même tous les maux dont souffre l’Algérie. Où on retrouve aussi tous les clichés véhiculés içi en france. D’ailleurs, le seul personnage vraiment intègre dans le livre est une femme. La soeur de "Khalifa". Femmes Algériennes courageuses, groupes islamistes manupilés, mains obscures, cadres avec leur officiers traitants etc etc etc….. Sujet trop vaste pour être "polarisé" dans un livre de 200 pages tapé en gros caractères. Mais lis le.

                  • Khalifa, ce héros romanesque
                    le vendredi 9 février 2007 à 18:45, l’imam caché a dit :
                    Ok, l’inconnu, l’imam va suivre ton prêche et le lire. Ce que tu écris sur le livre n’est pas dissuasif, au contraire il incite à le lire. Un polar est toujours une construction arbitraire, la différence réside dans la manière dont il est mené. Le polar peut mener à tout, même à la politique. Et apparemment, c’est là que ça coince selon toi. Dès que j’aurais lu, je te donne mon sentiment. Par contre, l’argument que Rebrab et Tonic n’ont pas mis des sous ne tient pas la route. Ce qui est établi, par le peu que l’arrêt de renvoi permet au procès du blida, est une sorte d’incitation politique du pouvoir aux gérants des entreprises et offices publics à placer les sous dans la banque de Khalifa. Là, d’après ce que tu dis, le livre a l’air plutôt de taper juste. Ces gérants, sans doute pas vraiment honnêtes mais lampsites quand même, auront-ils le culot de dire qu’on leur a demandé de le faire, voilà la question… La probabilité qu’ils mouillent les gens d’en haut est plutôt faible. Même ceux qui ont pris la poudre d’escampette comme le gouverneur de la banque n’osent, de l’étranger, le suggérer qu’à demi-mot. Omerta, complot, etc… Avec les amitiés libertaire de l’Imam caché, qui prendra une bière en l’honneur du camarade inconnu, qu’il trouve fort sympa et patient.
                    • Khalifa, ce héros romanesque
                      le mardi 13 février 2007 à 14:07, l’inconnu a dit :
                      Ok l’imam. Idem j’ai bu Talisker à ta santé !
                      • Khalifa, ce héros romanesque
                        le lundi 12 mars 2007 à 09:00, l’imam caché a dit :
                        Salut l’inconnu. Les mules ont travaillé et le faucon vert est arrivé chez l’imam qui a lu, d’un trait, ce polar. La seule chose qu’il a regretté, l’imam, c’est que 213 pages, c’était trop court, mais qu’est ce qu’il n’a pas ri, vraiment, ce Lartane, s’en est donné à coeur joie et je pense que l’expression "beredde guelbou" s’applique ici. L’inconnu, j’avais compris de tes envois que le livre est complaisant à l’égard des islamistes, moi je n’ai rien trouvé de tels, ils sont, comme on connait certains d’entre eux, cyniques, criminels mais aussi de gros dindous… Vraiment, l’inconnu, l’imam a pris son pied. Pourvu que ce "fuyard" vers les pays froids nous fasse des suites… A la tienne l’inconnu
    • Khalifa, y’en a des dizaines en algérie ! ! !
      le vendredi 27 juillet 2007 à 01:10, Boumerrgua Essamate a dit :
      Khalifa, ce héros romanesque, mon dieu, vous êtes indulgent, car moi je dirai : "Khalifa, ce prête-nom de la nomenclatura" . Abdelmoumene Khalifa et comme disent les familiers, moumene, aurait pu passer à l’inaperçu, s’il n’avait pas sortis ses dents, pour croquer la belle vie à Cannes, Londes en bonne compagnie.Ce misérable rich-boy, est allé trop loin dans ces ambitions démesurées, car ceux qui l’ont utilisé,pensaient pouvoir le tenir loin d’une vie publique trop médiatisée ; Car, regardez, Mister RABRAB de Cévital, est quelq’un de Zen, et il ne se manifeste, que si ses maîtres l’y autorisent, c’est çà le bon elève, sage comme une image ! un béni wiwi de souche pûre. De cet état de fait, existe-t-il une démocratie plus démocrate que Eddi, Emmou, Kratiya, oû les renégats, reconnaissent leur foraits devant les juges, sans être inquiétés, car ses petites personnes, ne sont sollicités que pour apporter leur temoignages, à l’instar de SID’HOUME ESSAÏD de l’U_____G_____T_____A dixit : "l’Union Générale des Traitres Algériens", Et monsieur BENNACER, l’ex DG de la CNAS, est-il vraiment en prison, oui apparemment une belle prison du coté d’oran, construite par son frère générale de l’armée algérienne, mort dans un accident de voiture. Une chose est certaine, oui, l’Algérie, est le pays des miracles ?
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